Université, composantes et services
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« Charlie Hebdo » : l'université reste mobilisée

Suite à l’attaque contre Charlie Hebdo, l’Université de Strasbourg s’engage aujourd’hui à ouvrir les débats autour des thématiques de la liberté d’expression, du dialogue interculturel et interreligieux, de la citoyenneté et de la laïcité. Alors parlons-en !

L’Université de Strasbourg a été présente dans les différentes manifestations qui ont suivi l’attaque contre Charlie Hebdo. Elle était là car la liberté d’expression était visée, celle-là même dont découle la liberté académique, la « nôtre », c’est-à-dire celle de mener des recherches et d’en livrer les résultats librement. Or cette liberté, l’ensemble de la communauté universitaire y est attachée. Les moyens pour agir aujourd’hui, de sorte que notre société soit plus tolérante et que les valeurs de notre république soient pour tous des fondamentaux incontestables et incontestés, se situent à différents niveaux : social, économique, culturel et bien entendu éducatif. Le maire de Strasbourg a réuni, lundi 19 janvier 2015, les principaux responsables institutionnels et associatifs autour d’une conférence citoyenne visant à une meilleure coordination globale de tous les milieux.

Des actions concrètes

Notre université a répondu présente et s’est engagée à mener des actions concrètes et à ouvrir les débats. La page « Parlons-en ! » du portail unistra.fr est dédiée à l’annonce de toutes les manifestations proposées par l’université autour de la liberté d’expression, du dialogue interculturel et interreligieux, de la citoyenneté et de la laïcité programmée par l’université. Plusieurs composantes ont d’ores et déjà fait remonter leur programme dont une conférence-débat sur la citoyenneté à l'initiative de la Faculté de droit, de sciences politiques et de gestion, qui réunira différents acteurs institutionnels et politiques le 18 février, une conférence de Henri Pena-Ruiz organisée par l’École supérieure du professorat et de l'éducation le 20 février, et diverses actions portées par la Faculté de théologie protestante.
Pour alimenter le programme et ouvrir largement les débats, les composantes et les unités de recherche sont invitées à émettre des propositions qu’elles pourront transmettre auprès de Mathieu Schneider, vice-président Sciences en société.

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Deux nouveaux élus dans l’équipe de gouvernance

Lors du congrès du 27 janvier dernier, Mathieu Schneider a été élu vice-président Sciences en société et Quentin Menigoz, vice-président Vie universitaire. 

Mathieu Schneider, en charge de la vice-présidence Sciences en société depuis le départ d’Édouard Mehl à l'automne dernier, a officiellement été élu vice-président par 70 voix (sur les 75 suffrages exprimés). Interrogé par L'Actu, il évoque les ambitions pour son mandat dans ce numéro 103 du journal
Quentin Menigoz, étudiant à l’Institut d’études politiques de l’Université de Strasbourg, a été élu par 57 voix (sur les 75 suffrages exprimés) et remplace ainsi Olivier Hoerdt. Durant son mandat, il souhaite faire de la santé des étudiants une priorité, renforcer les caractères fédératif et utilitaire du sport et mettre en valeur la vie universitaire. Il aimerait également engager une politique de citoyenneté à l’université et créer un espace de réflexion entre les étudiants responsables institutionnels à l’échelle régionale. Pour cela, il pourra s’appuyer sur une équipe de chargés de missions et sur l’expertise des services de l’université et travailler de concert avec les autres vice-présidents.

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Sénat académique : un pont entre formation et recherche

La première réunion spécifique du tout nouveau sénat académique de l’université a eu lieu le 4 février dernier. Cette nouvelle instance réunit les directeurs de composantes et d’unités de recherche. Quels sont ses objectifs ? Comment va vivre cette nouvelle instance au cœur de l’université ?

En réalité, « nous avions réuni pour la première fois le sénat académique pour rédiger une motion s’opposant au coup de rabot budgétaire qui nous menaçait en décembre, indique le président de l’université. La qualité des travaux nous a convaincus qu’il s’agissait là d’un chaînon manquant dont les travaux enrichiraient le débat dans notre université ». Comme il le souligne également, le sénat académique doit être un lieu de débat, un lieu de créativité. Sa finalité : améliorer la qualité du débat démocratique, mieux impliquer l’ensemble des élus et responsables sur les missions de formation et de recherche dans la stratégie de l’université. Concrètement, « il permettra de mieux intégrer les directeurs des structures assurant soit des missions de formation, soit des missions de recherche à la vie de l’établissement. De par leurs responsabilités et leur expérience, et grâce à la confrontation des stratégies en formation et recherche, il alimentera et préparera les débats et décisions du conseil académique. »
Des objectifs compris et déjà partagés par plusieurs participants à la première réunion. Ainsi, pour Benoît Tock, directeur de la Faculté des sciences historiques, cette nouvelle instance est plus qu’intéressante. « Les problématiques d’enseignement et de recherche sont très souvent liées. Par exemple, les relations internationales ou la question des stages concernent à la fois les directeurs de composantes de formation et de recherche, commente Benoît Tock. Le sénat académique permet de recueillir les expériences et difficultés rencontrées par tout le monde et d’échanger nos points de vues en direct. »

Instaurer du dialogue

Selon lui, réunir le sénat académique deux à trois fois par an devrait instaurer un véritable dialogue entre directeurs d’unités de recherche et de composantes, encore trop absent à l’heure actuelle. De son côté, Mir Wais Hosseini, directeur du laboratoire Chimie de la matière complexe et ancien responsable du collégium Sciences est également ravi de la création du sénat académique : « Malgré l'existence institutionnelle des UFR, on a séparé recherche et formation. Il faut au contraire un maximum de passerelles entre les deux et le sénat académique en est une indispensable. Une telle instance peut-être au cœur des missions de l’université : fabriquer et dispenser du savoir. » Au sein du collégium Sciences, il avait d’ailleurs déjà mis autour de la table les directeurs d’unités de recherche et de composantes.
Pour cette première réunion spécifique du sénat, la discussion a essentiellement porté sur les nouvelles missions qui pourraient être confiées aux collégiums, après examen du rapport rédigé par Christian Kelche et Jean-Marie Husser. « L’expérience des participants sur ces sujets a permis d’aboutir à une série de propositions qui seront synthétisées pour être soumises au conseil académique », conclut Alain Beretz. En effet, il s’agit bien là d’une instance consultative, les décisions restant pleinement du ressort des différents conseils.

Anne-Isabelle Bischoff

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Du bon usage des majuscules, entre autres…

Dans quel cas met-on une majuscule à « université » ? Y-a-t’il un espace après un double-point, des points de suspension après etc ? Doit-on écrire 6 ou six ? Autant de questions que vous vous posez peut-être chaque jour en rédigeant vos écrits professionnels. Les réponses sont dans la charte orthotypographique de l’Université de Strasbourg. 

Souvent soumis à ce type d’interrogations dans leur quotidien d’éditeurs de médias et autres plaquettes, des membres du Service de la communication, du pôle PAO* de la Direction des affaires logistiques intérieures, du Service universitaire de l’action culturelle et des Presses universitaires de Strasbourg ont constitué une petit goupe de travail afin d’élaborer une charte orthotypographique pour l’Université de Strasbourg.
En dépit d’un nom un peu barbare, la charte orthotypographique ne mord pas : elle décrit les règles de composition des textes publiés sur des supports papier (historiquement) ou sur internet (plus récemment). On y rappelle par exemple les règles qui déterminent l’usage des capitales, de l’italique, des guillemets, la manière d’écrire les nombres, les abréviations, les sigles.
L’Université de Strasbourg, comme tous les journaux de presse écrite et de nombreuses institutions publiques et privées, s’est donc dotée de sa propre charte en adaptant à ses propres usages, les règles fixées par le code typographique de l’Imprimerie nationale. Cette charte vise à améliorer la lisibilité générale de tout ce qui s’écrit, tout en créant une culture commune autour de l’écrit. Or, améliorer la lisibilité générale passe parfois par l’application de règles qui contredisent d’autres règles apprises à l’école, ou acquises inconsciemment par de mauvais usages perpétués par l’entourage, qui finissent par apparaître comme des règles. On peut noter par exemple une forte tendance à faire un usage excessif des majuscules, qui, utilisées en quantité excessive, arrêtent la course de l’œil dans la lecture et peuvent provoquer des abandons de lecture. 

  • La charte est disponible dans l’ENT rubrique Vie de l’université – Fonctionnement, services, projets – Services rattachés à la présidence et à la DGS – Service de la communication – Chartes. 

*Publication assistée par ordinateur

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Un accord signé entre l'université et le Japon

Ce partenariat entre l’Université de Strasbourg et le National Institute for Materials Science (NIMS) au Japon a été formalisé à Tsukuba lors d'une cérémonie organisée le 26 janvier dernier à l’occasion d’un séminaire entre les deux établissements.

L’accord prévoit que deux étudiants de master ou de doctorat de l’Université de Strasbourg puissent se rendre tous les ans au NIMS pour y effectuer un séjour de recherche. Situé à Tsukuba au Japon, le NIMS est un institut de référence international dans le domaine des nanomatériaux, dont les activités de recherche sont complémentaires ou proches de celles de l’Institut de physique et chimie des matériaux de Strasbourg (IPCMS). Les deux structures collaboraient déjà de manière informelle. Grâce à cette convention, elles souhaitent ouvrir la voie à des échanges structurés de scientifiques et d'étudiants dans l’optique de développer des projets de recherche communs et des actions de formation de haut niveau. Du côté de l’Université de Strasbourg, ce partenariat est porté par le docteur Carlo Massobrio, directeur de recherche au CNRS et directeur adjoint de l'IPCMS. Il est fortement soutenu par l'UFR de physique et d'ingénierie et est susceptible d'impliquer les composantes actives en sciences des matériaux. Le NIMS s’est également doté d’un programme de bourses dédié aux stages de recherche dont pourront bénéficier les étudiants de l’Unistra accueillis au Japon dans le cadre de cette convention.

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Soutenir et encourager l’entrepreneuriat étudiant en Alsace

Une convention de partenariat a été signée lundi 26 janvier dernier pour accompagner les projets du Pôle étudiant pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat – Etudiants entrepreneurs en Alsace (Pépite – Etena)* entre l’Université de Strasbourg et la Caisse des dépôts en Alsace. Le Pépite-Etena a été doté de 90 000 euros par l’État et la Caisse des dépôts pour soutenir un ensemble d’actions sur la période 2014-2016. 

*Opération financée par l’Initiative d’excellence 

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Sciences du sport : une identité marquée

La Faculté des sciences du sport de Strasbourg compte 1 115 étudiants formés à quatre secteurs d’emploi : l’éducation physique et sportive, l’entraînement sportif, les activités physiques adaptées et la santé et enfin le management du sport. William Gasparini, doyen de la composante depuis juin 2014, nous explique ce qui fonde son identité si particulière. 

Vous travaillez actuellement sur l’accueil des néo-bacheliers, pourquoi ?
Nos formations en sciences du sport attirent de plus en plus de néo-bacheliers. Malheureusement, nous ne pouvons pas accueillir tous ceux qui en font la demande sans mettre en péril la réussite et la sécurité de nos étudiants. Aussi, sommes-nous contraints de limiter l’accès en première année. Nous menons donc un travail d’orientation active auprès des lycéens pour les informer que nos enseignements sont essentiellement théoriques. Nous souhaitons pouvoir accueillir tous les néo-bacheliers dont c’est le vœu n°1. Cependant, actuellement, faute de moyens suffisants (humains, financiers et infrastructures), le rectorat doit procéder à un tirage au sort. Avec les personnels de la faculté, nous travaillons à l’augmentation progressive de cette capacité car nous estimons que l’avenir des jeunes ne doit pas se jouer à la loterie. Mais l’université doit également se mobiliser pour nous donner les moyens de nous engager dans cette voie. 

En février 2013, votre prédécesseur, Gilles Erb, parlait d’intégrer la dimension européenne dans les formations de la faculté : où en êtes-vous ?
C’est un beau projet qui se concrétise tant dans la formation que dans la recherche. Nous souhaitons clairement nous positionner comme une faculté européenne et cela va au-delà du simple « label ».
Lorsque je dirigeais l’équipe d’accueil Sport et sciences sociales, j’avais déjà inscrit l’Europe et le sport comme perspective transversale de recherche. Nous portons aussi deux projets Idex Attractivité1 et faisons partie du projex Europe porté par l’unité de recherche Sociétés, acteurs, gouvernement en Europe (UMR Sage). Nous sommes également associés au programme de recherche Erasmus+ sur l’employabilité des jeunes diplômés des instituts des sciences du sport en Europe et je suis actuellement membre de l’Institut d’études avancées de l’Université de Strasbourg sur la thématique de l’européanisation informelle du sport.
Nous essayons aussi d’internationaliser les formations en faisant la promotion de la mobilité auprès des étudiants. Nous avons de nombreux partenariats en Europe mais également avec le Japon, le Sénégal ou le Québec et nous aimerions nous ouvrir sur l’Amérique latine et développer davantage le franco-allemand. Des enseignants portent de nombreuses initiatives et souvent les liens qui existent à l’international sont issus de programmes de recherche qui débouchent ensuite sur des projets de formation.                                        

Il existe donc un lien fort entre formation et recherche ?
Dans notre faculté, de la première année de licence au master, il y a toujours un lien avec la recherche. D’abord parce que les étudiants sont constamment en contact avec nos enseignants-chercheurs dont la production scientifique est importante, tout comme la recherche-action en didactique des activités physiques sportives. Il y a ensuite une initiation à la recherche en troisième année de licence soit une découverte des grands thèmes de recherche développés à la faculté. Et il existe enfin une synergie très forte entre les axes de recherche de nos unités de recherche et nos spécialités de master. C’est une de nos forces et un réel facteur d’attractivité.

La dimension activité physique et santé est aussi un fort marqueur de l’identité de votre faculté. Pourquoi ?
C’est en effet une dimension plurisdisciplinaire très forte que nous développons à la fois en recherche – certains de nos enseignants-chercheurs sont rattachés à une unité de recherche de la Faculté de médecine2 – mais aussi avec ce que fait la Ville de Strasbourg en la matière. Nous sommes notamment associés au dispositif « Sport santé sur ordonnance » pour lequel Strasbourg fait figure de pionnière. Dans un contexte où les maladies chroniques (obésité, diabète, etc.) se développent, il est important de former des professionnels de la prévention primaire et secondaire par l’activité physique.

Votre faculté s’intègre aussi pleinement dans la dynamique d’excellence de l’université.
Nous avons effectivement déposé des projets qui ont été acceptés aussi bien en formation – aide à la réussite étudiante et soutien aux sportifs de haut niveau – qu’en recherche [ndlr : voir plus haut]. Nous saisissons les opportunités qu’offrent l’Idex car cela permet de rayonner et de créer des collectifs de recherche. Mais l’excellence ne doit pas être dissociée du long terme, seul avenir pour la recherche publique. Notre recherche et notre formation ont besoin de dotations récurrentes – et pas seulement de solutions à court terme – pour fonctionner et relever les grands défis d’avenir. 

Propos recueillis par Floriane Andrey

1Activités physiques et prévention de la santé : une injonction normative à l’épreuve de la pauvreté en Europe et Le sport strasbourgeois au lendemain de la Grande Guerre : entre francisation et germanisation des masses.
2Mitochondries, stress oxydant et protection musculaire – EA3072

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Les JU 2015 ou l'art de gérer les imprévus

Les Journées des universités et des formations post-bac (JU) se sont déroulées les 5 et 6 février derniers. Cet événement nécessite une préparation technique et logistique très importante que des imprévus peuvent vite enrayer en l’absence d’une équipe motivée et performante.

Mercredi 4 février, 9 heures. Les personnels de l'Espace avenir, service pilote des JU, et quelques vacataires, viennent d’arriver au Parc des expositions où les JU doivent se dérouler à partir du lendemain matin. Ils doivent installer quelque 260 stands en une journée pour accueillir près de 20 000 personnes à ce forum régional d’aide à l’orientation des lycéens de l’académie de Strasbourg. Problème : le prestataire chargé du montage des stands est encore sur place et seule la moitié du hall 20 est aménagée. Difficile dans cette situation pour l’équipe de l'Espace avenir de savoir par où commencer ! Après une petite demi-heure de flottement, Johanne Henner de l'Espace avenir tente de répartir les tâches pendant qu’Anne-Laure Bittmann, la coordinatrice des JU, essaie de régler le problème avec le prestataire. Les équipes se forment. Un stand témoin est aménagé pour que chacun sache où placer quoi. Plan du hall en main, chaque équipe se dissémine un peu partout. C’est parti pour l’affichage. Equipées de paires de ciseaux et de scotch double-face, des personnes installent les numéros sur les stands, d’autres mettent en place les affiches de l’offre de formation pendant que les chariots de manutention continuent le montage.

À conditions exceptionnelles, organisation exceptionnelle 

« C’est la cinquième année que j’organise les JU et cela n’a jamais été aussi compliqué », confie Anne-Laure Bittmann, très perplexe. Mais à conditions exceptionnelles, organisation exceptionnelle.
Pour pallier la perte de temps de la matinée, des vacataires sont appelés en renfort à midi et les collègues de l'Espace avenir, qui ne devaient pas rester l’après-midi, donnent finalement un coup de main jusqu’au bout. L’affichage se poursuit donc avant de dispatcher la documentation (guides, brochures offre de formation, tracts, etc.), d’installer les plans pour l’orientation des visiteurs, de préparer les stands d’accueil pour les exposants et les visiteurs, de gérer les stocks… En fin d’après-midi, le prestataire finit le montage avec près de douze heures de retard. « D’habitude, je vérifie toute la signalétique installée sur plan et tous les stands mais cette fois, j’ai fait confiance à mon équipe pour la signalétique, j’ai seulement vérifié les stands avant de rentrer », explique Anne-Laure Bittmann. Toute l’équipe a pu quitter le Parc des expositions vers 19 h 30 pour une bonne nuit bien méritée avant le jour J. Interrogée a posteriori, Anne-Laure Bittmann a confié : « L’installation a été vraiment compliquée et stressante, mais les JU se sont bien passées finalement malgré quelques couacs ; nous avons accueilli près de 20 000 visiteurs ! » 

F.A.

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Sylvain Diaz, nouveau directeur du Suac

Sylvain Diaz a officiellement été nommé directeur du Service universitaire de l'action culturelle (Suac) de l'université le 27 janvier dernier.

Il assurait l'intérim de ce poste depuis octobre 2014 à la place de Mathieu Schneider alors en charge de la vice-présidence Sciences en société. Sylvain Diaz est maître de conférences en études théâtrales, responsable du parcours théâtre et de la première année du parcours théâtre de la licence Arts du spectacle. Dans son prochain numéro du 13 mars, L'Actu accordera une interview à Sylvain Diaz pour qu'il nous présente son service et ses projets.

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Mieux connaître les savoir-faire de la Dali

Tous les usagers de l’université font un jour appel à la Direction des affaires logistiques intérieures (Dali). Ce service au périmètre d’action très large a édité sa première brochure métiers début février. Un outil pour découvrir l’ensemble des savoirs faire d’une équipe qui œuvre au jour le jour à de meilleures conditions logistiques pour tous. 

Si ce service est aujourd’hui connu, tant par les services centraux que par les composantes, il reste paradoxalement mal connu. En effet, quelles sont toutes ses activités, où se situent les bâtiments qui abritent les agents, quel est son périmètre d’intervention et enfin comment joindre ses services selon les besoins logistiques ? Des questions précisent auxquelles cette brochure répond précisément. Comme l’indique Christiane Gross, directrice de la Dali « Grâce à notre brochure métiers, vous serez en mesure de mieux utiliser nos services dans votre vie quotidienne à l’université et accomplir vos missions dans les meilleures conditions logistiques. »
Car la Dali, c’est autant l’accueil des bâtiments, le service courrier, l’organisation d’événements, l’impression de documents, thèses ou livres, ou encore les fournitures et les mobiliers adaptés… bref la vie universitaire quotidienne. 

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Journée nationale de la réussite : l’Ipag, tête de cordée

Toute l’équipe de l’Institut de préparation à l’administration générale (Ipag) s’est mobilisée vendredi 23 janvier dernier pour organiser lJournée nationale des Cordées de la réussite.

Depuis 2008, l’Ipag participe aux Cordées de la réussite. Ce dispositif a pour vocation d’inciter des lycéens issus de milieux défavorisés à s’orienter vers des études supérieures. Un partenariat avec le lycée Jean-Monnet a permis à l’Ipag de mettre en place un programme de tutorat entre 33 lycéens et 33 étudiants.
Vendredi 23 janvier dernier, deux visites ont eu lieu le matin : un groupe est allé au Musée d’art moderne de Strasbourg pour un éveil à l’art contemporain tandis qu’un autre s’est rendu au Parlement européen pour aider les lycéens à mieux appréhender leur rôle de futurs citoyens de l’Eurométropole. L’après-midi, les lycéens et étudiants ont échangé autour de quatre ateliers thématiques : apprendre à rédiger un CV et une lettre de motivation, réussir un entretien oral, connaître les filières universitaires, découvrir la vie étudiante.
Pour les tuteurs organisateurs et Pascale Peccavy, responsable du programme Égalité des chances, ce fut une expérience très enrichissante tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel. L’originalité de la démarche de l’Ipag : un soutien pragmatique apporté aux lycéens dans leur orientation vers le supérieur et la construction de leur avenir.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2015

 Février Mars
<strong>Conseil académique</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;/
<strong>Conseil d'administration - CA</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;24
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;17
<strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong>
14 h 30 - Mercredi
&nbsp;/&nbsp;18
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong>
14 h 30 - Mardi
&nbsp;17&nbsp;31
<strong>Conférence des directeurs des unités de recherche</strong>
10 h - Mercredi
&nbsp;/&nbsp;26 (jeudi)
<strong>Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux</strong>
9 h - Lundi
&nbsp;/&nbsp;16

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