Communauté universitaire
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Florian Daeschler, fou d’échecs

Des parties d’enfance contre son grand-père aux compétitions européennes d’aujourd’hui, Florian Daeschler a toujours aimé le jeu d’échecs pour son adrénaline et par esprit de compétition. Plus que dans ses études de mathématiques, c’est dans sa passion qu’il entrevoit un avenir professionnel.

Jusque sur sa photo de profil Facebook, Florian Daeschler affiche sa passion pour les échecs. « Mais attention, j’ai une vie à côté ! » tient-il à préciser : sport (vélo, musculation), soirées entre amis, week-ends à Paris pour retrouver sa copine... « Ça nous arrive de nous affronter devant un échiquier », reconnaît le jeune homme, tout en regrettant par la même occasion « le machisme qui peut régner dans ce sport ».
Florian y évolue depuis plusieurs années maintenant. Et « oui, c’est bien un sport ! » confirme-t-il. « On peut sortir éreinté d’une partie de trois, quatre heures », assure-t-il, lui qui se définit comme un joueur « plutôt lent ». Ce qui ne l’empêche pas d’afficher un score de 2 205 elo, lui assurant une 400e place au classement national. Elo ? Une unité de mesure propre aux échecs, destinée à évaluer la force des joueurs à partir du nombre de parties gagnées et perdues. « Le niveau national débute à 2 000 elo », précise encore Florian.

Espagne, Arménie…

Le bac en poche, Florian intègre le club d’échecs universitaire, à son arrivée à l’UFR de mathématique et d'informatique, il y a trois ans. C’est le moment où ça commence à marcher pour eux : « L’année précédente, ils s’étaient qualifiés pour les championnats d’Europe et suite à un désistement, j’ai pu participer à cette compétition. » Deux titres de champion de France universitaire par équipe plus tard (en 2015 et 2017), obtenus en Espagne et en Arménie, Florian continue à beaucoup voyager grâce aux échecs. « En ce moment, je suis parti presque tous les week-ends et les vacances scolaires ! » Début février, c’est à Nancy qu’il s’est rendu, pour le championnat de France universitaire. Malheureusement, les joueurs de l’équipe échouent au pied du podium. Pas de quoi décourager Florian, qui a la gagne : « Je déteste perdre, mais je reconnais quand je me frotte à plus fort, et là c’était le cas ». Un esprit de revanche qui remonte à ses premières parties, « vers 6-7 ans, contre mon grand-père. Il m’a battu jusqu’à ce que je rentre en club et… j’ai découvert qu’il était mauvais perdant ! »

Entraînement strict

Depuis un an, Florian s’astreint à un entraînement strict : « Une heure d’échecs par jour, à jouer ou potasser des bouquins ». C’est le prix pour progresser et, il le remarque, cette rigueur paie.  « Ce que j’aimerais maintenant, c’est faire un an de pause dans mes études pour m’y consacrer vraiment, et pourquoi pas, en vivre. » Pas en tant que joueur professionnel, car ils sont seulement une poignée dans le monde, mais en donnant des cours. Ce qu’il a déjà l’occasion de faire dans son club de Mundolsheim, l’une des meilleures et les plus actives du département, qu’il a rejoint il y a deux ans.
Transmettre et faire connaître les échecs, c’est aussi ce qui l’anime quand il participe aux deux heures de pratique libre des échecs proposées par le Service universitaire des activités physiques et sportives (Suaps), tous les lundis soirs. Ou aux animations « hors les murs » sous forme de simultanées, dans des lycées ou encore dans le hall du Pege, l'année dernière (photo).
Autre plan d’avenir : devenir professeur de mathématiques. Même s’il doute d’avoir choisi cette discipline pour leur proximité avec les échecs. « On associe souvent les deux, mais les différences sont nombreuses. » Reste que le président de son club de Mundolsheim est… professeur de maths, et qu’il ne tarit pas d’éloge sur sa jeune recrue, présentant Florian comme l’un des « espoirs » du club !

Elsa Collobert

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Les alumni s'affichent pour accroître leur notoriété

Jusqu'au 28 février, observez bien les rues et levez le nez : le réseau Alumni de l’Université de Strasbourg s’affiche dans l’Eurométropole, avec un nouveau visuel et cinq slogans. L’objectif de cette campagne : augmenter la notoriété du réseau à Strasbourg, et inviter les diplômés à s’inscrire.

Mis en place en octobre 2012, le réseau des alumni a fêté récemment ses cinq ans d’existence. Il compte aujourd’hui plus de 17 000 personnes au sein d’un réseau social et professionnel ouvert aux diplômés, doctorants, personnels en activité, retraités ou ayant effectué une partie de leur carrière à l’Université de Strasbourg ou au sein de ses universités fondatrices (Louis-Pasteur, Marc-Bloch, Robert-Schuman). Ce réseau comprend aussi désormais plus de 800 recruteurs.
« Plus de 17 000 membres, toutes et tous véritables ambassadeurs de l’Unistra, c’est un véritable atout pour notre établissement, d’autant que les universités françaises n’ont pas encore une forte culture des réseaux Alumni, explique Agnès Villanueva, directrice du Service relations Alumni (SRA) depuis sa création. Mais c’est à développer pour assurer une participation optimale aux différentes activités du réseau. » Celui-ci propose en effet de nombreuses activités autour de l’emploi, de la carrière, de l’échange d’informations professionnelles, des savoirs liés à l’activité de recherche à l’université. Il vise en particulier à favoriser l’aide à l’emploi des jeunes diplômés.

Se faire connaître pour accroitre les adhésions

L’objectif du SRA est d’augmenter le nombre des membres du réseau et de permettre à chacune et à chacun de tisser des relations de qualité entre eux et avec les acteurs de l'université. Pour y parvenir, il peaufine sa communication et s’affichera avec un nouveau visuel décliné en cinq slogans sur le réseau d’affichage de l’Eurométropole. La collectivité territoriale a prêté à l’université, pour l’occasion, 110 faces en format junior (2 m2) et 60 en format senior (8 m2), depuis le 14 février dernier et jusqu'au 28.
À travers cette campagne, le réseau affirme ses missions de réseautage et d’entraide, son travail autour de l’emploi et du partage des savoirs, sur des affiches aux couleurs pastel portant le langage visuel de l’Université de Strasbourg. Souhaitons que cette campagne puisse déclencher une nouvelle vague d’inscriptions !

Caroline Laplane

Une nuit pour connecter les intelligences

Les intelligences seront le fil rouge de la Nuit des alumni, au cœur du Palais universitaire, vendredi 23 mars, à partir de 18 h 30. Cette manifestation, qui s’annonce passionnante, est ouverte à tous, sur inscription.

Michel Deneken, président de l'Université de Strasbourg, ouvrira la manifestation aux côtés de Jean-Pierre Sauvage, prix Nobel de chimie 2016, invité d’honneur, qui interviendra autour de la créativité en laboratoire de recherche, véritable source d'inspiration pour tous. Cette soirée sera également l’occasion pour le réseau de désigner son ambassadeur alumni de l’année.
On entendra aussi des slams science et slams expérience autour des intelligences multiples, pitchés par nos alumni experts et passionnés (mémoire spatiale, intelligence économique et renseignement, intelligence mathémusicale et artistique, intelligence artificielle et robotique médicale, intelligence entrepreneuriale, intelligence des plantes, des animaux).
Au programme également : de l'humour avec Marie-Charlotte Morin, auteure et comédienne dans son nouveau stand-up La vie d'un thésard ; des expériences culinaires inédites pour favoriser le bon fonctionnement du cerveau, concoctées par le chef Olivier Meyer qui orchestrera « l'intelligence et le monde de la cuisine » ; de l’émotion par la voix de Marie Bochelem, soprano ; de la magie et du mystère hypnotique, sous l'emprise de Dan Leclaire, neuromagicien en titre et Sébastien Bizotto, comédien expert du Théâtre de la Chouc', chef d'orchestre scientifique.

Programme et inscription

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Le prix de l’amitié franco-allemande pour la cheffe de l’Orchestre universitaire

Corinna Niemeyer lors de la réception du prix de l’amitié franco-allemande, des mains de l’ambassadeur et consul général d’Allemagne auprès du Conseil de l’Europe.

Corinna Niemeyer, la cheffe de l’Orchestre universitaire de Strasbourg (OUS) a reçu le prix de l’amitié franco-allemande le 30 janvier dernier. Une reconnaissance pour l’engagement européen de l’orchestre dans son ensemble et pour le travail accompli par la cheffe allemande, qui le dirige depuis 2010.

« Je suis très honorée d’avoir reçu ce prix car il encourage mes activités européennes et celles de l’orchestre. Plus qu’une récompense personnelle, ce prix est une reconnaissance pour l’ensemble des projets européens portés par l’orchestre », résume Corinna Niemeyer. La cheffe de l’OUS a reçu le prix de l’amitié franco-allemande le 30 janvier dernier des mains de l’ambassadeur et consul général d’Allemagne auprès du Conseil de l’Europe. Créé en 2008, ce prix récompense des citoyens français ou allemands de toutes origines, géographiques ou sociales, qui s’engagent personnellement pour faire progresser l’amitié entre Français et Allemands. Les lauréats sont choisis par l’ambassade d’Allemagne ou les consulats allemands en France.
Corinna Niemeyer a pris la direction de l’OUS en 2010, au début de ses études de direction d’orchestre à Karlsruhe. Elle est depuis passée professionnelle, mais n’a jamais quitté son attache strasbourgeoise. « Strasbourg est pour elle le carrefour entre la France et l’Allemagne, le centre de son engagement européen. Ce prix est une reconnaissance de son investissement à Strasbourg, à l’université et à la Ville », indique Hervé Moritz, le président de l’OUS.

Un orchestre à l’identité très européenne

Sous la baguette de Corinna Niemeyer, cet ensemble de 75 musiciens a réalisé plusieurs tournées en Allemagne, en Belgique, en République Tchèque, aux Pays-Bas… et a reçu à Strasbourg plusieurs formations des pays voisins. L’une des grandes fiertés de l’OUS est d’avoir joué au Parlement européen lors de la cérémonie d’hommage à l’ancien chancelier allemand Helmut Kohl, décédé le 16 juin 2017. « Participer à un événement européen d’une telle ampleur était un grand honneur pour moi et tous les musiciens. Dans cet orchestre jeune, composé surtout d’étudiants, nous nous reconnaissons dans une Europe unie et ouverte. Ce sont ces valeurs que nous voulons partager », affirme la cheffe. Le grand moment fort de cette année 2018 sera l’organisation, du 6 au 10 juin, du Festival européen des orchestres universitaires. Une dizaine d’orchestres des universités de toute l’Europe sont invités. Au programme : des concerts au Palais universitaire et au Palais de la musique et des congrès entre autres, un flash-mob, un pique-nique musical… C’est la première fois que Strasbourg accueille ce festival. Chaque année, l’OUS donne une quinzaine de concerts à Strasbourg et à l’étranger. Il se place parmi les orchestres universitaires les plus actifs d’Europe.

Julie Giorgi

  • Pour rejoindre ses rangs, contactez l'orchestre par courriel. Une courte audition vous sera proposée.

Corinna Niemeyer, un parcours virtuose

Corinna Niemeyer est diplômée des conservatoires supérieurs de musique de Munich (agrégation avec distinctions : violoncelle, direction de chœur et d’orchestre, pédagogie musicale, musicologie), de Karlsruhe (direction d’orchestre, licence) et de la Hochschule der Künste Zürich (direction d’orchestre, master). Nominée « Talent Chef d’orchestre 2014 » au concours Adami à Paris et lauréate de la Tokyo International Conducting Competition 2015, Corinna Niemeyer se fait remarquer par une riche expérience internationale. En plus de ses fonctions de cheffe d’orchestre et directrice musicale de l‘Orchestre universitaire de Strasbourg (depuis 2010), en septembre 2016, elle devient la cheffe principale de l’Orchestre de Sorbonne-Universités-Paris. Elle travaille également au Konzerthausorchester à Berlin, à l’Opéra de Cologne et à l’orchestre d'enfants dans le projet Demos de la Philharmonie de Paris.

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Jean Sibilia élu président de la Conférence des doyens de facultés de médecine

À la tête de la Conférence des doyens de facultés de médecine pour les deux prochaines années, Jean Sibilia, doyen de la faculté de Strasbourg, défend une vision sociétale et humaniste de la médecine. Parmi les chantiers prioritaires à mener figurent la « ré-universitarisation » des Centres hospitaliers universitaires (CHU), la poursuite de la réforme du 3e cycle et la réforme du numerus clausus et du 2e cycle.

Le 30 janvier dernier, le professeur et rhumatologue Jean Sibilia, doyen de la Faculté de médecine de l’Université de Strasbourg, a été élu président de la Conférence des doyens de facultés de médecine pour un mandat de deux ans. Cette institution, qui regroupe 38 facultés en France (DOM-TOM compris) a pour mission de coordonner et de développer la formation médicale et la recherche en santé. Sous la tutelle de deux ministères (Santé ; Enseignement supérieur, Recherche et Innovation) et en lien avec les autorités de santé et de la recherche, la conférence des doyens de facultés de médecine est une force de proposition importante, dynamique et créative.
L’un des grands dossiers qui attend le nouveau président est la participation au rapport « CHU de demain », mission commandée en novembre 2017 par les deux ministères de tutelle. « Nos propositions iront dans le sens d’une modernisation et d’une ouverture de l’hôpital public qui doit être en symbiose avec l’université. Nous souhaitons rendre la formation, l’innovation et les soins, intégrant les immenses progrès actuels, accessibles au plus grand nombre, dans la plus grande équité possible. Les professionnels de santé doivent être au service des citoyens », affirme Jean Sibilia. Le rapport de mission devra être remis aux ministres en novembre prochain.

Améliorer l’accès aux études de santé et la formation pour la médecine du futur

La réforme du 3e cycle et du numerus clausus constituent également des questions prioritaires. Déjà entamée, la réforme du 3e cycle doit être achevée « dans un esprit pluridisciplinaire au sein des facultés », selon le nouveau président. Elle doit permettre aux internes de suivre un cycle professionnalisant « progressif », tout en bénéficiant d'un temps de formation pédagogique optimal. La Conférence des doyens de facultés de médecine planche également sur la réforme du numerus clausus, annoncée par le Premier ministre le 13 février. « Nous sommes favorable à cette réforme car le système actuel n’est pas adapté à nos problématiques de formation et de sélection. » Le président prône une régulation de l’entrée dans les études de santé adaptée aux besoins régionaux et aux enjeux du futur, afin « de répondre aux nécessités de nos populations et, à terme, de faire reculer les déserts médicaux ». En parallèle de toutes ces réformes, Jean Sibilia souhaite « donner à toutes ces réformes un sens universitaire », dans un esprit d'ouverture humaniste et one health. « La santé humaine ne peut pas être dissociée de la santé de la planète et des espèces qui l’habitent, assure-t-il. Nous devons avoir une vision moderne, pragmatique mais surtout bienveillante de nos missions universitaires. »

J. G.

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Thomas Ebbesen, docteur honoris causa de l’Université de Louvain

Crédit : KU Leuven/Rob Stevens

Le 2 février dernier, Thomas Ebbesen est devenu docteur honoris causa de l'Université de Louvain. Le 25 mai 2015, déjà, Oberlin College (États-Unis) lui avait décerné un doctorat honoris causa ès sciences, en présence de la Première dame des États-Unis, Michelle Obama.

Actuellement directeur du Centre international de recherche aux frontières de la chimie (ICFRC) et de l'Institut d’études avancées de l’Université de Strasbourg (Usias), ce professeur de chimie physique est reconnu pour son travail pionnier dans les nanosciences. Diplômé de l’Université Oberlin (États-Unis), Thomas Ebbesen a obtenu un doctorat de l’Université Pierre-et-Marie-Curie, à Paris, dans le domaine de la photochimie physique.
Lorsqu’il travaille pour les laboratoires de recherche fondamentale de la société NEC au Japon, Thomas Ebbesen constate que, contrairement à la théorie alors acceptée, il est possible de transmettre la lumière très efficacement à travers les trous sub-longueur dans des films métalliques opaques. En 1999, le chercheur rejoint l'Institut de science et d'ingénierie supramoléculaires (Isis) de l'Université de Strasbourg, qu’il dirige de 2005 à 2012.
Thomas Ebbesen a reçu de nombreuses distinctions comme le prix Europhysics (2001) pour ses travaux précurseurs dans le domaine des nanotubes de carbone, le prix France-Télécom de l'Académie des sciences (2005) et en 2009 le prix Quantum Electronics and Optics de la Société européenne de physique (EPS) pour sa découverte du phénomène de transmission optique extraordinaire. Enfin, le 9 septembre 2014, Thomas Ebbesen reçoit le prix Kavli en nanosciences avec Stefan Hell et Sir John Pendry, pour leurs contributions dans le domaine de la nano-optique.

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Ouverture de la campagne PEDR 2018 à l'attention des enseignants-chercheurs

La campagne Prime d'encadrement doctoral et de recherche (PEDR) 2018 à l'attention des enseignants-chercheurs est ouverte depuis le 7 février 2018.
 
L’application Elara sera ouverte jusqu’au jeudi 1er mars 2018, à 16 h (heure de Paris). Un guide d’utilisation est disponible en ligne.
De plus amples informations ont été communiquées par l’envoi d’un courriel de la part d'Elisabeth Demont, vice-présidente Ressources humaines et politique sociale, le 29 janvier dernier.

  • Pour toute demande, contacter le Bureau de gestion des personnels enseignants par courriel

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Collectif X à l’Unistra : une résidence en images

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Chasse aux œufs : les inscriptions sont ouvertes

Pensez aux inscriptions pour la chasse aux œufs organisée par le Spacs à destination des enfants du personnel : elles sont ouvertes jusqu’au jeudi 15 mars.

Le Service pour la promotion de l’action sociale (Spacs) organise pour les enfants du personnel de l'université sa traditionnelle chasse aux œufs, samedi 24 mars 2018, de 10 h 30 à 11 h 30, dans les jardins historiques de l’université (jardins du Palais universitaire).
Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au jeudi 15 mars 2018 inclus (délai de rigueur) et devront impérativement se faire à partir de l’interface sur le site du Spacs.

  • Tous les renseignements sur le site du Spacs, rubrique Actualités

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Équipez-vous pour l’hiver grâce aux services de la vie universitaire et des sports

Besoin de vêtements et d’accessoires d’hiver ? De skis, ou d’un vélo ? Vous pourrez trouver votre bonheur lors de la vente d’(h)iver organisée jeudi 22 février.

Le Service de la vie universitaire organise une vente d’(h)iver : venez nombreux vous équiper à petits prix grâce aux compagnons d’Emmaüs Scherwiller et Emmaüs Etikette, qui reviennent cette année. Le même jour, le Service des sports propose aux acquéreurs de skis un atelier de vérification de leurs équipements. 

  • Vente de skis, vélos... : de 10 h à 16 h, devant le Patio
  • Vente de vêtements et équipements vintages : de 10 h à 16 h, hall du Patio
  • Atelier de vérification des skis : de 16 h à 18 h, au Centre sportif universitaire

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Spacs : pensez à réserver vos sorties ski !

Jusqu'à début mars 2018, le Service pour la promotion de l'action sociale (Spacs) propose des sorties ski, à la journée et au week-end.

Flumsberg, Adelboden, Engelberg, Avoriaz, Verbier, Wengen : il y en a pour toutes les envies. Pensez à réserver : il n’y aura pas de place pour tout le monde !