Communauté universitaire
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Dans les petits papiers de Myriam Pepino

À l’étage de l’UFR de mathématique et d'informatique se trouve le bureau de Myriam Pepino, seule relieuse d'art de toute l’université. Visite en sa compagnie de son atelier-caverne d’Ali Baba, où pinceaux, presse et massicot côtoient cuirs épais, papiers multicolores et feuilles d’or…

Quand on entre dans son grand atelier, c’est plusieurs décennies de l’histoire de l’université qui se déroulent sous nos yeux. Le long des larges fenêtres s’alignent pinceaux, brosses, pots de colle et gros ciseaux, à portée de main. Une feuille de papier encadrée, une affiche jaunie et de nombreuses photos égayent les lieux. « Là, c’est moi à 27 ans avec mon prédécesseur, qui m'a initiée au fonctionnement de l'atelier », décrit Myriam Pepino. Un imposant cactus frôle presque le plafond au centre de cette malle aux trésors. « Il est au moins là depuis la création de l’atelier de reliure à l’université, il y a 40 ans ! » La maîtresse des lieux nous apprend qu’à l’origine, il était situé au bout du couloir. « L’atelier a été créé pour l’UFR de mathématique, qui dispose d'une bibliothèque riche du troisième fond le plus important de France, après Paris. »
Depuis, les choses ont évolué, puisque l’accès à ce savoir-faire rare s’est ouvert aux autres services de l’université, sur facturation interne. « Le plioir, l’aiguille, les ciseaux, le scalpel et la règle sont mes outils quotidiens », explique Myriam, désignant une pile de livres en souffrance de reliure. La majorité de son travail consiste à assembler les revues en un corpus robuste, « permettant une consultation régulière et une meilleure conservation». Elle réalise aussi des réparations d’ouvrages abîmés.

Papiers marbrés, nuageux, cuir, parchemin…

Cet atelier de reliure, Myriam Pepino l’a rejoint voici maintenant 20 ans, à l’issue d’un CAP demi-industriel passé au lycée Gutenberg, à Illkirch, puis d’une expérience chez un relieur indépendant pendant lesquelles elle a obtenu en candidat libre le CAP main femme et le brevet de compagnon. « Violoniste, je souhaitais au départ faire de la lutherie, mais cette formation n’existait pas à Strasbourg. Orientée vers la reliure par mon père, cet artisanat m’a tout de suite plu : on a rapidement le résultat concret de son travail entre les mains ! » Comptez tout de même près de 20 heures de travail pour un livre d’or classique. En ce moment, elle travaille sur celui du Palais universitaire pour la cérémonie de départ d’Alain Beretz. « Il sera en cuir de chèvre rouge, orné de lettres et d’une image ou esquisse du palais en or véritable », glisse-t-elle avec fierté. À l’occasion, il arrive aussi à Myriam − qui a depuis passé son brevet de maîtrise supérieur en art de la reliure et est devenue formatrice − d’être sollicitée pour des commandes extérieures à l’université. « J’ai par exemple réalisé le livre d’or de la ville de Bischheim et j'ai aussi des commandes Unistra pour des départs en retraite, des inaugurations. » On sent la passion qui l’anime, intarissable, lorsqu’elle ouvre les uns après les autres les tiroirs contenant papiers marbrés et nuageux, blancs et colorés, quand elle déroule avec précaution un cuir ou un parchemin.

Place à la créativité

Sur l’armoire à papiers trônent des livres personnels finement décorés, ornés de mosaïques de cuir, de galets ou de fins dessins de coquelicot. « Je les ai exposés ici pendant les Journées du patrimoine. » Certains ont été réalisés pour des expositions. Cette autre facette de son activité lui permet de laisser davantage libre cours à sa créativité, au sein de l’atelier qu’elle partage avec son mari, chez eux, à Gambsheim. « Nous animons à l’occasion des ateliers de création de carnet et de papier, à la colle et à la cuve. » Justement, elle en propose deux très bientôt au Comité d’action et d’entraide sociale (Caes) du CNRS, pour s’initier aux techniques d’un métier « qui, malheureusement, se fait de plus en plus rare ».

Elsa Collobert

Atelier initiation au papier à la colle, lundi 14 novembre, 12 h 15- 13h  45, au Caes, 18 rue Goethe, sur inscription.
Atelier confection d’un petit carnet, lundi 21 novembre, 12 h 15-13 h 45, au Caes, 18 rue Goethe, sur inscription.
Ces stages, d’une capacité de 8 places, sont ouverts à tous les personnels Unistra. L’un peut être réalisé indépendamment de l’autre.

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« Diffuser une culture de la sécurité »

Des agents de sécurité privés effectuent des rondes tous les jours sur le campus.

Ouverte sur la ville, porteuse des valeurs d’émancipation par la connaissance et de liberté : ses spécificités font de l’université une cible de choix pour une attaque terroriste. Face à cette menace potentielle, la direction prend des mesures concrètes, à commencer par appeler chacun à la vigilance.

Frédéric Dehan le concède : « Un site comme celui de l’Université de Strasbourg est difficile à sécuriser ». Et le directeur général des services, qui assume aussi la charge de fonctionnaire de sécurité et de défense pour l’université, d’énumérer les « 110 bâtiments et 600 000 m2, fréquentés par 50 000 étudiants et près de 5 000 personnels ». L’université, qui s’est toujours voulue un lieu ouvert, au sens propre comme au figuré, est par conséquent impossible à bloquer, et contrôler systématiquement les allées et venues de ses usagers et de leurs bagages serait une gageure.
Dans ces conditions, les réponses apportées au nécessaire besoin de sécurité des agents et des étudiants, mais aussi au sentiment d’insécurité,  passent notamment par la mise en place de mesures visibles (des rondes d’agents de sécurité privés), ainsi que de mesures moins visibles mais tout aussi importantes, en particulier la mise en place d’une cellule de gestion de crise et d’un plan de continuité d’activité, mobilisables en cas d’évènements le nécessitant. Afin d’éprouver l’efficacité de cette cellule, l’équipe de direction travaille à la mise en place d’exercices-tests de sécurité. Un exercice en conditions réelles est programmé pour le premier semestre 2017.

Vers un système d’alerte par SMS

La priorité est de « diffuser une culture de la sécurité auprès de tous », poursuit Frédéric Dehan. Un dispositif tel qu’un système d’alerte par SMS est en cours d’analyse et devrait bientôt être opérationnel, afin de pouvoir faire circuler de façon fluide des informations à l’intérieur de l’établissement, des étudiants vers la direction, et inversement, en cas d’incident. Il y a quelques jours, c’est ce type de système qui a permis de faire évacuer très rapidement la Faculté de Rouen, après qu’un étudiant ait signalé un comportement suspect.
« J’ai déjà des preuves de l’accroissement du sentiment de vigilance », estime Frédéric Dehan. Très fréquemment, le fonctionnaire de sécurité et de défense reçoit des informations du personnel et d’étudiants visant à sensibiliser et alerter sur certaines situations anormales.
Par ailleurs « en contact régulier avec les services compétents », Frédéric Dehan assure que « les mesures nécessaires sont prises à partir de ces informations, y compris l’information des responsables de filières, écoles et facultés. Pour des raisons évidentes de confidentialité, je ne peux donner davantage de détails ».
Dans une note interne datée du 20 septembre, le Directeur général des services rappelle également que tout incident ou situation perçu comme anormal doit lui être signalé (03 68 85 70 94/03 68 85 70 90), ainsi qu’à sa structure d’appartenance, conformément à la posture Vigipirate adoptée à l’université.

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Rencontres alumni : construire sa carrière au temps des réseaux sociaux

Trois cent personnes ont participé au temps fort du réseau des alumni de l’université, le 5 octobre, qui s’est construit autour de rencontres et de thématiques sur l’emploi, la carrière et la place des réseaux virtuels et réels dans la vie professionnelle d’aujourd’hui.

Maxime est jeune diplômé de l’Université de Strasbourg, titulaire d’un master de biologie. Il vient de rejoindre le réseau des alumni de l’Université de Strasbourg et se hâte dans l’escalier pour rejoindre le stand de l’entreprise Novartis, qui participe au job dating, un des temps forts de cette journée intense de réseautage. « Cette initiative me permet de rencontrer un professionnel, dans ma branche. J’espère bien que ce contact m’aidera, d’une manière ou d’une autre, à décrocher un job. »
De son côté, Marie-José Bleuzé, responsable recrutement, formation et diversité de Bluelink, une autre entreprise qui participe au job dating, attend des candidats éventuels. « Nous sommes des experts de la relation client à distance. Nous venons d’ouvrir un centre à Strasbourg, avec une équipe de 30 personnes et l’ambition de grossir jusqu’à 200, par vagues successives de recrutements, tous en CDI. Je cherche des jeunes diplômés pour pourvoir ces postes, mais également des étudiants pour des temps partiels le soir et le week-end, puisque c’est une contrainte particulière de nos métiers. »

Workshop, job dating et flash coaching

Les contacts se nouent entre les alumni et les quinze entreprises présentes, les personnes se croisent sur ce plateau dédié au job dating dans le Collège doctoral européen, siège de la manifestation toute la journée.
Pendant ce temps, dans l’amphithéâtre, les workshops se succèdent : coaching et emploi, réseaux sociaux et vie professionnelle, avec un coup de projecteur particulier sur Alumnforce, la solution de réseau social dédié des alumni choisie par l’Université de Strasbourg. « Les réseaux sociaux prennent une place de plus en plus importante dans les processus de recrutement, mais aussi la mise en relation des postes et des compétences », explique Fabien Blanc, co-fondateur de la société Alumnforce. D’où la nécessité de les maîtriser pour les intégrer à sa recherche d’emploi ou, plus largement, à ses pratiques professionnelles. « C’est pourquoi nous avons donné à notre plateforme cette forme numérique de réseau social », rappelle Agnès Villanueva, directrice du Service relations Alumni (SRA).
Le réseau social, c’est entendu, est un outil devenu central dans la vie professionnelle, la gestion de sa carrière, la recherche d’emploi. Mais le SRA a également mis a profit cette après-midi de rencontres pour permettre aux membres du réseau de découvrir un autre outil qui peut s’avérer très utile : le coaching. Quatre coachs professionnels ont proposé du flash coaching tout au long de l’après-midi, une première approche de la démarche de coaching sur 15 minutes. « Étant donné la durée de la séance, le flash coaching fonctionne bien si la personne arrive avec une question précise sur laquelle on puisse la faire avancer, en l’aidant à en tirer quelque chose de concret, explique Françoise Orlov, coach professionnelle. Cela peut surprendre mais dix minutes peuvent suffire pour identifier un problème à creuser. »
Après un temps officiel, animé par différentes personnalités*, la soirée s’est terminée par un long cocktail de « réseautage », selon la tradition. Au total, 300 personnes environ ont participé à cette après-midi d’échanges, de rencontres. Beaucoup d’entre elles, on l’espère, ont noué de nouveaux liens et contacts, qui enrichiront d’une manière ou d’une autre leur environnement professionnel ou leur carrière.

Caroline Laplane

* Agnès Villanueva, directrice du SRA ; Fabien Blanc, co-fondateur de la solution AlumnForce ; Baptiste Massot, responsable commercial ; Alice Couégnas, directrice de la Fondation de l'Unistra ; Jacques Triponel, délégué territorial Association pour l'emploi des cadres (Apec) Grand-Est ; François Gauer, vice-président délégué aux pratiques pédagogiques ; Jean-Marc Jeltsch, vice-président partenariats avec les entreprises.


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Jean-Yves Bigot reçoit le prix Ricard 2016 de la Société française de physique

Lundi 10 octobre 2016, Jean-Yves Bigot, directeur de recherche à l’Institut de physique et chimie des matériaux de Strasbourg (Université de Strasbourg/CNRS) a appris qu'il était le lauréat du prix Ricard 2016 de la Société française de physique.

Ce prix récompense ses travaux exceptionnels dans le domaine de la spectroscopie femtoseconde. Ses travaux pionniers, menés à l’Institut de Physique et Chimie des Matériaux de Strasbourg, ont permis d’ouvrir un nouveau champ de recherche appelé « Femtomagnétisme » avec de nombreuses ramifications vers l’électronique de spins, la physique de l’interaction entre le champ et la matière aimantée, la magnéto-acoustique hyperfréquence... À l’échelle femto, on peut par exemple observer les mouvements des atomes dans une molécule.
Outre l’intérêt de ces recherches fondamentales, les domaines d’applications concernés sont le stockage d’information, les modulateurs magnétiques, le contrôle spatial et temporel d’objets nanométriques, le transport et la collecte des charges dans des dispositifs photorécepteurs.

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Erasmus + : la conférence annuelle accueillie à Strasbourg

Lundi 10 et mardi 11 octobre se tenait la conférence annuelle de l'agence Erasmus + France/Éducation et formation. Cette année elle a eu lieu à Strasbourg, en présence de la ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Najat Vallaud-Belkacem, mais aussi Michel Deneken, président de l'Université de Strasbourg par intérim, étaient présents à la conférence annuelle de l'agence Erasmus + France/Éducation et formation. Le thème retenu était : Erasmus + par-delà les espaces géographiques et personnels : des projets pour l'insertion sociale et la citoyenneté.  L’occasion de réaffirmer l’engagement européen des participants et de valoriser la réussite du programme Erasmus +. Car au-delà de sa contribution à la construction d’une citoyenneté européenne, Erasmus « favorise la lutte contre l’échec scolaire et le décrochage », et constitue un indéniable atout sur le marché de l’emploi.
Alors que 2017 verra la célébration des 30 ans du programme phare de l’Union européenne, c’était notamment l’occasion de présenter les projets et bonnes pratiques mises en œuvre ces dernières années.

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Les stages de l’Urfist pour ce semestre sont en ligne

Dans le cadre de la poursuite de ses missions de formation à l'usage et à la maîtrise de l'information scientifique numérique dans l'enseignement supérieur, l'Unité régionale de formation à l'information scientifique et technique (Urfist) de Strasbourg  vient de mettre en ligne le programme de ses stages pour la période septembre-novembre 2015.

Diigo, Wordpress, Gimp, Excel : autant de logiciels qui n'auront plus de secrets pour vous, permettant des applications multiples telles que l'édition de documents professionnels, l'analyse de données, la création d'une bibliographie ou d'un site de colloque ou de conférence. Les stages de l’Urfist sont gratuits, ouverts à tous les personnels de l’université et doctorants.

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Apéritifs poétiques : les mots, ça se déguste !

Goûtez au plaisir des mots de trois auteurs engagés, René Char, Federico Garcia Lorca et Mahmoud Darwich, lus en espagnol et arabe pour les deux derniers. Et ce, en partageant un apéritif. Rendez-vous les 28 octobre, 22 et 29 novembre pour savourer les trois lectures.

L’initiative, inédite, est née du désir d’Enrica Zanin, maître de conférences en littérature comparée à la Faculté des lettres, de partager le plaisir de la poésie. À l’origine du projet, la préparation à l’agrégation de lettres modernes où ces trois auteurs sont au programme autour du thème de l’action poétique. Ils n’ont pas été choisis par hasard puisque René Char était résistant, Federico Garcia Lorca, militant de la cause républicaine, assassiné par les milices franquistes, et Mahmoud Darwich était une voix puissante de la cause palestinienne. Ce dernier entre pour la première fois au programme et Enrica Zanin s’en félicite : « C’est important de former des enseignants qui pourront faire découvrir la poésie arabe à leurs élèves ».

« Donner ce qu’on a de meilleur à tous »

Elle a souhaité « faire de ce cours un moment de plaisir, pas seulement une obligation, et ouvrir tout ce travail et ce trésor de savoirs à d’autres publics ». À savoir tous les étudiants de la Faculté des lettres, mais aussi tous ceux – étudiants, enseignants et personnels – qui partagent cette attirance pour la poésie. « L’amour des mots n’est pas l’apanage des profs de lettres », dit-elle. Quel meilleur moyen qu’un moment convivial autour d’un verre et de bouchées ? D’où cette idée des trois Apéritifs poétiques en octobre et novembre, en partenariat avec le Service universitaire d'action culturelle (Suac). Les étudiants contribueront au buffet « pour régaler autant de personnes que possible ».

Comment la poésie peut-elle devenir action ?

Enrica a demandé à trois lecteurs spécialistes des auteurs de lire le poème qu’ils auront choisi, puis de le traduire en ce qui concerne les poètes espagnol et arabe. Michèle Finck, poète et professeur de littérature comparée lira un des Feuillets d’Hypnos que René Char a écrits pendant la Résistance, Aya Sakkal, professeur d’arabe, lira Lorsqu’il s’éloigne de Mahmoud Darwich et Carole Egger, professeur d’espagnol, lira un poème des Complaintes gitanes de Federico Garcia Lorca. Pour Enrica Zanin, il était important que les poèmes soient lus dans la langue d’origine pour faire entendre la musicalité des textes. « La question, pour nous, n’est pas seulement de savoir en quoi ces poètes étaient engagés, mais plutôt de réfléchir à la place de la poésie dans la cité. Peut-elle, par sa beauté, devenir une forme d’engagement ? Ces poèmes ne parlent pas de politique mais posent la question : peut-on agir avec des mots ? »
Les Apéritifs seront suivis le 3 février par un déjeuner poétique pour échanger et débattre des trois lectures, avec deux jeunes chercheurs de Paris autour des formes de l’action poétique.
Amis des mots, venez nombreux !

Stéphanie Robert

Mardi 18 octobre, de 12 h à 14 h : René Char, lu par Michel Fink, salle 409 du Portique - 14 rue René Descartes, campus Esplanade ;
Mardi 22 novembre, de 12 h à 14 h : Mahmoud Darwich, lu par Aya Sakkal, salle 409 du Portique - 14 rue René Descartes, campus Esplanade ;
Mardi 29 novembre, de 12 h à 14 h : Federico García Lorca, lu par Carole Egger, salle de conférences de la Maison interuniversitaire des sciences de l'Homme-Alsace (Misha), 5 allée du général Rouvillois, campus Esplanade.
Entrée libre.

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Visite de l'exposition "Lumière ! Explorer l'impossible" avec le Spacs

Mardi 8 novembre, de 13 h à 14 h (rendez-vous à 12 h 45), le Service pour la promotion de l'action sociale (Spacs), en collaboration avec le Jardin des sciences, propose une visite guidée de l'exposition "Lumière ! Explorer l'impossible", au Musée zoologique.

Elle est présentée jusqu'au 31 décembre au Musée zoologique de la Ville de Strasbourg, réalisée en partenariat avec le Jardin des sciences de l'Université de Strasbourg. Découvrir, expérimenter, comprendre la lumière… L’exposition "Lumière ! Explorer l’impossible" permet au visiteur de cheminer entre phénomènes physiques et richesses biologiques.
De l’héliostat, instrument de physique permettant d’orienter les rayons du soleil, au Calao rhinocéros, extraordinaire oiseau des forêts tropicales, les scientifiques et les explorateurs se sont interrogés sur la nature de la lumière et ses effets sur le vivant. Grâce à des expériences en optique, une immersion dans la forêt de Bornéo et une plongée dans les abysses, le visiteur pourra appréhender les multiples facettes de la lumière.

  • Inscription préalable obligatoire : par courriel pour les agents de l'université ; auprès de Clarisse Kleindienst (03 68 85 19 85, pour les agents du CNRS au Caes).
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