Université, composantes et services
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Métakiosque, la nouvelle œuvre d'art du campus s'anime

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L’Oresipe jongle entre chiffres et avenir

Assane Ndiaye et Anis Redjimi, télé-enquêteurs pour l’Oresipe.

Que deviennent les diplômés des universités d’Alsace ? C’est l’une des questions sur lesquelles se penche l’Observatoire régional de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle des étudiants (Oresipe). Zoom sur cette composante du Service de l’aide au pilotage, dont les études servent à guider les choix stratégiques des équipes dirigeantes.

Tous les samedis matins durant deux mois, mais aussi de 17 h 30 à 20 h 30 en semaine, les couloirs désertés du deuxième étage du Nouveau Patio résonnent des mêmes questions : «Bonjour, c’est l’Observatoire régional de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle des étudiants. Avez-vous quelques minutes pour répondre à nos questions ? » Casque téléphonique sur la tête, des étudiants vacataires égrènent leur argumentaire. À l’autre bout du fil, d’anciens étudiants des universités de Strasbourg et de Haute-Alsace (UHA).
« Nous recrutons ces vacataires dans le cadre de nos enquêtes, explique Tidiane Diallo, responsable de l’observatoire. Pour la sixième année consécutive, nous enquêtons les étudiants de licence professionnelle et de master, 30 mois après l’obtention de leur diplôme. Nous commençons par les contacter par mail, mais nous n‘atteignons que 35 % de taux de réponses. Pour arriver à un résultat exploitable (entre 75 et 82 %), il faut les relancer par téléphone. » C’est là que les étudiants vacataires entrent en jeu. « Il y a tout de même 6 200 personnes à contacter ! »
Créé en octobre 2002 et rattaché aux universités de Strasbourg et de Haute-Alsace depuis la fusion de 2009, l’Oresipe est l’un des quatre départements du Service de l’aide au pilotage (SAP), directement rattaché à la présidence. « Les questionnaires sur l’insertion professionnelle des diplômés sont élaborés par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, précise Tidiane Diallo. Mais nous avons la possibilité de rajouter certaines questions, pour répondre à des besoins internes. » Les quatre chargés d’études de l’Oresipe*, formés à la démographie et à la statistique, travaillent avec un référent scientifique, Philippe Cordazzo, enseignant-chercheur en démographie.

Décrochage en licence, conditions de vie et d’études des étudiants étrangers…

Outre le devenir des jeunes diplômés, la majeure partie du travail de l’Oresipe, des suivis de cohorte sont aussi menés. « Il s’agit de dresser un état des lieux de la situation des étudiants en termes de parcours et de réussite dans les formations post-baccalauréat », explique Tidiane Diallo. L’observatoire est encore sollicité pour des enquêtes ponctuelles, parfois à la demande des vice-présidents en charge de l’insertion professionnelle ou de la réussite étudiante de l’une ou l’autre université de tutelle, membres du comité de pilotage. « Choix, motivations et projets des bacheliers ; décrochage en licence ; conditions de vie et d’études des étudiants étrangers en sont quelques exemples. »
Les résultats des enquêtes de l’Oresipe sont accessibles à tout un chacun en ligne, ou encore à l’Espace avenir, permettant par exemple de s’informer lors de ses choix d’orientation. Ils servent aussi d’éléments de réflexion aux équipes dirigeantes de l’université dans leurs décisions stratégiques. Inscrites au tableau de bord lors du dialogue de gestion, certaines données de l’Oresipe alimentent le dialogue entre composantes et services centraux lors de ce rendez-vous crucial de l’université.
Actuellement, l’Oresipe étudie le devenir des diplômés 2013 de licence professionnelle et de master, et pour la première fois le devenir des diplômés de licence générale de 2010 à 2013. Entre l’enquête à proprement parler et la compilation des résultats, le travail de l’Oresipe s’étire sur plusieurs mois. Tidiane Diallo est conscient des limites de l’exercice. « L’idéal serait de pouvoir mener ce genre d’enquête , dès 12 ou 18 mois après la fin des études, voire réaliser une analyse plus fine des résultats. Mais cela prend du temps, et nous sommes une petite équipe… »

Elsa Collobert

* Dont deux embauchées en contrat Idex

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Opération campus : le Pôle européen de gestion et d’économie agrandi et repensé

L'entrée du Pôle européen de gestion et d'économie (Pege) va être entièrement repensée - Vue d'architecte (XDGA)

Le bâtiment du Pôle européen de gestion et d’économie (Pege), qui regroupe l’École de management Strasbourg et la Faculté des sciences économiques et de gestion (Fseg), s’apprête à entrer dans une phase de restructuration d’ampleur. Une bibliothèque et une cafétéria rénovées verront le jour, ainsi qu’une nouvelle cour centrale et des espaces de travail, contribuant à l’amélioration des conditions d’accueil de tous les usagers.

Les usagers du Pege l’ont déjà remarqué : leur cafétéria et leur parking sont fermés depuis peu. Une contrainte qui s’inscrit dans un plan de travaux à grande échelle. Entre aujourd’hui et la rentrée 2018, l’élégant bâtiment de briques rouges va connaître deux phases de travaux. La première consiste en la construction d’une extension de 3 200 m2, en lieu et place du parking existant. Les espaces ainsi redistribués laisseront place à une nouvelle bibliothèque sur un niveau et une cafétéria agrandie. Ces travaux, qui se dérouleront en plusieurs étapes, sont prévus pour durer jusqu’en septembre 2017. S’ensuivra une seconde phase de douze mois, qui concernera la restructuration des espaces libérés dans les bâtiments existants : nouveaux bureaux d’enseignants-chercheurs, salles de cours et salles de travail en groupe. L’entrée principale et la rue intérieure seront également modifiées.

Côté gestion des nuisances, un comité des usagers réunissant des représentants de la Fseg, de l’EM, du Service commun de la documentation (SCD) et de la Direction du patrimoine immobilier (DPI), se réunissant tous les mois, a été mis en place. Les usagers seront directement informés de l’évolution du chantier par mail et à travers des réunions ponctuelles. Plusieurs mesures sont mises en œuvre afin de limiter au maximum les perturbations : les travaux ne commenceront pas avant la fin des examens, et les systèmes de communication des ouvriers, l’utilisation des engins de chantier et les matériaux ont été optimisés. Les riverains ne sont pas oubliés, avec un numéro vert et des panneaux d’information à disposition.

Le budget de 21 millions d’euros est financé à parts égales par l’État-Opération campus, la Région et l’Eurométropole de Strasbourg.

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Le site des services du numérique se renouvelle pour un meilleur service aux usagers

Au début du mois d’avril le site des services du numérique a fait peau neuve. Fruit du travail conjoint de la DUN et de la DI, il a complètement changé pour se rapprocher des besoins et attentes de la communauté universitaire.

Le site web initial datait de l’époque de la fusion des trois universités strasbourgeoises. En 2009, les objectifs étaient avant tout de faire connaître la politique du nouvel établissement en matière de numérique et de présenter les directions en charge de la mettre en pratique : la Direction informatique (DI) et la Direction des usages du numériques (DUN). Avec le temps cette approche est devenue obsolète.

La nouvelle version du site, mise en ligne début avril, met l’accent sur l’utilisateur, ses besoins et attentes. L’arborescence du site a été simplifiée et organisée autour des éléments « Les services aux usagers », « Documentations » et « Formations ».

Aller droit à l'essentiel

L’offre de services figure en bonne place, dès la page d’accueil du site. Classée par thèmes et par publics, elle permet de répondre aux questions les plus fréquentes des usagers.
La documentation est plus facilement accessible et pourra être plus rapidement mise à jour, grâce à la présence d’un système de notation et de commentaire que tout un chacun peut remplir. Ainsi elle s’inscrit dans un processus d’amélioration continue et de contrôle qualité.
L’ensemble des formations au numérique est répertorié dans une rubrique dédiée, avec la possibilité pour certaines d’entre elles de procéder à une inscription en ligne, en fonction des créneaux et places disponibles.
Les événements sont quant à eux consignés dans un agenda thématique avec une vue sous forme de calendrier.
Cette liste des nouveautés ne serait pas complète sans évoquer le design. Le site reprend différents codes graphiques qui lui donnent un air de famille avec le portail unistra.fr.

Ce site web constitue la vitrine des nombreux groupes de travail communs à la DUN et la DI (catalogue des services, documentation, etc.) qui ont participé à son élaboration. Quand bien même ce site sent encore la peinture fraîche, les deux directions qui l’ont construit et l’alimentent ne comptent pas en rester là. Des nouveautés sont déjà en projet. Elles seront ajoutées progressivement, dans les mois à venir, l’objectif étant, encore une fois, de coller au plus près aux besoins des usagers de la communauté universitaire.

Edern Appéré

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20 ans d’IUT à Haguenau, un pari réussi

Signature de la convention de partenariat entre l’IUT et la Ville de Haguenau par Jean-Christophe Devaux, directeur de l’IUT ; Claude Sturni, député-maire d'Haguenau et Marc Becker, président du conseil de l’IUT.

Vendredi 22 avril, l'IUT de Haguenau a célébré son 20e anniversaire, en présence de ses partenaires institutionnels, ainsi que de nombreux représentants de la communauté universitaire et du monde socio-économique, venus évoquer deux décennies d’évolution, d’innovation et de réussite.

En septembre 1996, l’ancienne prison de Haguenau a laissé place à l’IUT qui accueillait alors, dans ses locaux tout neufs, sa première promotion de cinquante étudiants. Depuis, l’établissement n’a cessé de s’agrandir, d’innover et d’évoluer afin d’offrir à ses étudiants les meilleures conditions d'étude et de réussite.
Et en 2016, ce sont près de 450 étudiants qui intègrent l’établissement haguenovien à chaque rentrée universitaire. Ces vingt années d’existence ont été ponctuées par la création de huit formations technologiques universitaires et près de 2 000 étudiants en sont sortis diplômés.
Vingt années au cours desquelles l’IUT s’est construit une solide réputation qui tient autant à la qualité des équipes pédagogiques qu’à l’investissement permanent du personnel administratif et technique, ainsi qu’aux très beaux exemples de parcours des diplômés.
Cette journée fut aussi l’occasion pour l’IUT et la Ville de Haguenau de renouveler ensemble de manière symbolique leur convention de partenariat, initialement signée en 1996, lors de l’ouverture de l’IUT. Cette convention formalise l’implication de la ville pour « promouvoir les opérations et la vie de l'IUT et contribuer au développement de la qualité de vie étudiante à Haguenau ».

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L’année de césure, nouveau dispositif pour les étudiants

L'année de césure peut être mise à profit pour monter un projet artistique, par exemple, pour les étudiants artistes de haut niveau.

Prendre une pause, entre deux années de formation, pour un stage, un bénévolat, un service civique, une création d’entreprise… Pour les étudiants de l’Unistra, c’est désormais possible. L’année de césure, promesse de François Hollande et encadrée par la circulaire ministérielle du 22 juillet 2015, a été adoptée par la Commission de la formation et de la vie universitaire (CFVU) en avril.

Loin d’être une année sabbatique, le dispositif de l’année de césure est encadré par des règles bien précises. Celles-ci sont actuellement définies université par université, et diffèrent donc d’un établissement à l’autre. « Si l’année de césure permet à l’étudiant de mener de façon autonome un projet personnel lui tenant à cœur, cette expérience doit s’inscrire dans un projet pédagogique cohérent », tient à insister Jean-Paul de la Rica, responsable du Département de gestion des études au sein de la Direction des études et de la scolarité (DES). D’une durée d’un semestre ou d’une année, menée au cours de la même année universitaire, la césure peut donner lieu à une reconnaissance par l’université de crédits ECTS, n’entrant toutefois pas en compte dans la validation du diplôme. Avantages de taille pour les étudiants : restant inscrits à l’université, ils continuent de bénéficier de la Sécurité sociale étudiante et des droits à la bourse, le cas échéant, ainsi que du bénéfice de l’admission dans le cas d’une formation sélective ou de la progression en année supérieure.
La césure est accordée par le directeur de la composante, après avis du responsable de la formation au titre de laquelle est demandée la césure. En cas de refus, un recours gracieux peut être examiné par une commission « césure », émanation de la CFVU.
Les candidatures sont actuellement ouvertes pour des césures au premier semestre de l’année scolaire 2016-2017 ou pour l’année complète.

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Herbert Castéran succèdera à Isabelle Barth à la direction générale de l'EM Strasbourg

Crédit : Alexis Chézière

Herbert Castéran, enseignant-chercheur, a été élu directeur général de l'École de management (EM) Strasbourg, le 4 mai, par le conseil d'école. Il prendra la suite d'Isabelle Barth à cette fonction le 22 mai.

À l'issue d'une élection disputée et marquée par des manifestations de soutien à la directrice sortante, Isabelle Barth, le nom d'Herbert Castéran est sorti en tête du second tour de l'élection du conseil d'école. 18 voix contre 15 ont permis à ce diplômé de l'IEP de Toulouse de l'emporter sur son adversaire Pierre Bois. Le directeur industriel d'Orrion chemicals, candidat extérieur à l'école, était pourtant arrivé en tête du premier tour.
Arrivé
à l'EM Strasbourg en 2010, Herbert Castéran y est responsable de la filière marketing en apprentissage et du master 2 Management du tourisme.
Ce choix du conseil d'école, présidé par François Loos, a été transmis par Alain Beretz au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en vue de la nomination.

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La plateforme franco-allemande Ksilink présentée à Thierry Mandon

crédit photo : Yvon Meyer

A l'occasion de son déplacement à Strasbourg le 11 mai 2016, Thierry Mandon, Secrétaire d’État auprès de la ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a pu visiter la plateforme Ksilink.

Ksilink est un centre de recherche « translationnelle » franco-allemand localisé à Strasbourg. Il met en lien l’excellence académique avec les grands groupes pharmaceutiques, les PME et les start-up biotechnologiques. Ksilink se différencie à la fois par sa structure, son modèle économique et les technologies qu’elle développe. L'Université de Strasbourg, représentée lors de cette visite par Serge Potier, vice-président délégué aux Investissements d’avenir, est l'un des sept cofondateurs de la plateforme et a contribué au projet au travers d'un financement Initiative d'excellence de 200 000 euros.

 

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Les IUT d'Alsace organisent leurs premières Assises de la professionnalisation

Quel IUT pour demain ? C’est la question qui a réuni les participants des premières Assises de la professionnalisation, organisées par l'Association régionale des IUT d’Alsace, le 26 avril, à l’IUT Louis-Pasteur de Schiltigheim.

Entreprises partenaires, représentants du Mouvement des entreprises de France (Medef), des universités, élus régionaux, élus et acteurs du monde socio-économique... Tous ont répondu présent à ces premières Assises de la professionnalisation. Une participation au reflet de la relation étroite qui les lie depuis de nombreuses années aux IUT et qui témoigne de leur intérêt pour la formation et l’avenir professionnel des étudiants.

Au programme, une table ronde intitulée "Cadres intermédiaires : quels besoins, quelles compétences, quelles formations ?", avec Evelyne Isinger (Région Alsace), Christine Gangloff-Ziegler (UHA), Olivier Klotz (Medef Alsace), Jean-Paul Lorch (dirigeant d’entreprise) et Bernard Lickel (Assemblée des directeurs des IUT), suivie d’ateliers sur la place et le rôle des IUT, leur adaptation aux évolutions du marché du travail, les perspectives pour le management intermédiaire, l’employabilité à bac +2 ou bac +3 et les métiers de demain.

De telles Assises de la professionnalisation sont ainsi organisées par les IUT dans toutes les régions de France, dans le cadre du 50e anniversaire du réseau des IUT : ces analyses locales permettront d’alimenter une réflexion nationale lors de l'assemblée générale de l’Assemblée des directeurs des IUT (Adiut), en mai, pour tracer les contours des IUT de demain.

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L’Université Mohammed V en visite pour approfondir le partenariat Rabat-Strasbourg

Du 25 au 28 avril, l’Université de Strasbourg a accueilli une délégation marocaine composée de six doyens, directeurs et enseignants de l’Université Mohammed V (UM5) de Rabat. Se rencontrer, trouver des actions communes et formaliser des projets avec des composantes de l’Unistra : tel était l’objet de la visite de cette délégation.

Cette visite faisait suite à la signature, en novembre 2015, d’un accord-cadre entre les deux universités, porte ouverte à des actions de coopérations plus concrètes. L’UM5 comme l’Unistra est riche de sa pluridisciplinarité. Aussi, sur la base de l’accord-cadre, tous les domaines sont concernés par ces échanges, des sciences de la vie aux lettres, en passant par le droit et la formation des enseignants.
Comment faire émerger des actions ? En réunissant les représentants rabati et strasbourgeois de facultés équivalentes, à l’occasion d’un forum et d’ateliers thématiques. C’est la formule qui avait été choisie par la Direction des relations internationales de l’Unistra. Pour Elisabeth Regnault, enseignante-chercheuse à la Faculté de sciences de l’éducation, « ces rencontres en face à face sont idéales pour créer des liens et permettre un contact individualisé ». Formation, recherche, cotutelles, mobilités des étudiants, enseignants ou personnels : rien n'était exclu des discussions.
Ouvrant le bal, l’École normale supérieure de l’UM5 et la Faculté de physique et ingénierie de l'Unistra ont signé un premier accord le 26 avril. Pour Francis Kern, vice-président relations internationales de l'Unistra, ce premier pas doit servir de référence, de « noyau dur », autour duquel graviteront de nouvelles collaborations. Mohamed Khalfaoui, directeur de l’École supérieure de technologie, estime, quant à lui, que cette rencontre était l’occasion « de dépasser les axes bilatéraux classiques pour travailler sur de nouvelles actions concrètes, qui perdurent ».

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Bomgar débarque sur vos écrans

Ce n’est pas le nom d’un dieu nordique ni d’un super-héros de Marvel, mais celui du nouveau logiciel de prise de contrôle à distance des ordinateurs de la Direction informatique (DI). Le système, déployé à partir de mi-mai, remplacera Symantec PC Anywhere.

Quoi ?

Jusqu’à présent, la Direction informatique utilisait le logiciel Symantec PC Anywhere pour accéder à distance aux ordinateurs relevant du périmètre de l’université. Vieillissant, celui-ci va être remplacé par un nouveau logiciel plus performant, Bomgar. Concrètement, cela signifie que la petite icône située dans la barre des tâches de votre ordinateur (à côté de l’heure sous Windows), aujourd’hui un cercle jaune doublé d’un petit rond vert, va céder la place à un carré orange contenant un « B » blanc. Avantages du nouveau système : « Il va nous permettre de prendre le contrôle à distance des ordinateurs non seulement à l’intérieur de l’université, mais aussi à l’extérieur, par exemple pour les ordinateurs portables de l’Unistra utilisés hors du bureau », explique Philippe Hofmann, responsable du Pôle ingénierie poste de travail au sein du Département relations avec les utilisateurs de la DI. Autre avancée, « Bomgar est multiplateforme et inclut même les tablettes et les smartphones, alors que Symantec ne concernait que Windows et Mac. »

Pourquoi ?

La prise de contrôle à distance des machines est utilisée par la Direction informatique pour des opérations de maintenance ou de dépannage, en particulier par le support informatique (54321). Outre les machines des salles de ressources, les ordinateurs attribués individuellement sont également concernés par ce type d’intervention. « Conformément aux directives de la Commission informatique et libertés (CIL), l’accord de l’utilisateur est systématiquement demandé avant toute intervention, rassure Philippe Hofmann. Les dossiers spécifiquement intitulés « Personnel » ne peuvent être visités, de même que le répertoire de travail de l’usager (U:\ Mes documents). » Par ailleurs, les personnels chargés de ces opérations de contrôle sont soumis au secret professionnel. En aucun cas, ces opérations ne peuvent servir à des buts de contrôle du personnel.

Quand ?

Le déploiement du logiciel est prévu pour s’étaler sur un mois, entre mi-mai et mi-juin. Lors de l’installation, l’affichage d’une fenêtre peut avoir lieu pendant quelques secondes : pas de panique, c’est normal !

Qui ?

Tous les postes relevant du périmètre d’intervention du support informatique seront concernés, soit environ 5 000 machines. Tout le personnel de la DI, soit une centaine de personnes, a bénéficié d’une présentation du logiciel pour pouvoir assurer sa prise en main.

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Institut pluridisciplinaire Hubert-Curien : inauguration de nouveaux locaux au DEPE

Crédit : CNRS / N. Busser

Le 2 mai 2016, l’extension et les nouveaux aménagements du bâtiment qui accueille le Département écologie, physiologie et éthologie ont été inaugurés. L’institut est ainsi doté d’infrastructures plus fonctionnelles, permettant la rationalisation des activités de recherche.

Grâce à la rénovation des espaces de laboratoires, les études des mécanismes adaptatifs physiologiques, avec leurs éventuelles implications biomédicales, biotechnologiques ou de conservation des espèces peuvent maintenant être approfondies. Ces douze nouveaux espaces offrent l’opportunité d’une rationalisation des activités qui irrigue tout le département. L’extension de l’animalerie, soutien indispensable aux recherches, offre un environnement de travail confortable et spacieux, dans le respect de la règlementation et du bien-être animal. Des fonctionnalités nouvelles ouvrent la porte à de futures études sur l’hibernation comme sur la reproduction.
L’enjeu était de proposer à la fois des lieux ouverts favorisant l’échange et des espaces sécurisés et de haute technologie propres à l’activité de recherche, avec pour ambition supplémentaire de rationaliser la consommation énergétique du bâtiment.
L’inauguration s’est déroulée en présence des partenaires et/ou financeurs : le Conseil régional d’Alsace - Champagne-Ardenne - Lorraine, le Conseil départemental du Bas-Rhin, l’Eurométrople de Strasbourg, l’Université de Strasbourg, le CNRS et la mairie de Strasbourg. Ils ont été accueillis par Christelle Roy, directrice de l’IPHC, accompagnée de François Criscuolo, responsable du DEPE et de l’ensemble de l’équipe de direction du laboratoire, de Patrice Soullie, délégué régional CNRS Alsace, ainsi que de Pierre-Yves Roth, architecte chef du projet. Les financeurs ont consacré près de 2,52 millions d’euros pour la réalisation de l’extension et des nouveaux aménagements.

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Chercheurs, participez à une enquête sur vos usages et besoins en information

Enseignant-chercheur, chercheur, doctorant, ou étudiant en master 2 Recherche, le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a besoin de votre avis !

Dans le cadre de la création d'un nouveau dispositif documentaire, Collections d'excellence (Collex), qui vise à prendre la suite, dans un cadre élargi, des Centres d'acquisition et de diffusion de l'information scientifique et technique (Cadist), le ministère cherche à connaître les usages et recueillir les besoins et les attentes de la communauté scientifique dans ce domaine.
En répondant à ce questionnaire, vous contribuez à une meilleure connaissance des usages, des besoins et des attentes de la communauté scientifique en matière d'information scientifique et technique. Pour, in fine, à travers Collex, mieux répondre aux besoins actuels des chercheurs dans leur recherche d'information et de documentation, imprimée ou numérique, tant en sciences humaines et sociales, qu'en sciences exactes, techniques et médicales.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2016

 Mai Juin
Conseil académique
14 h - Mardi
 /  /
Congrès
14 h 30 - Mardi
 / 21
Conseil d'administration - CA
14 h - Mardi
 10 21
Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU (ex-Cévu)
14 h - Mardi
 17 7-23
Commission de la recherche - CR (ex-CS)
14 h 30 - Mercredi
 / 8
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 3-24 28
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 13 /
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 9 /
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
8 h 30 - Jeudi
 / 13
Comité technique d'établissement
9 h - Jeudi
 / 30

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