Université, composantes et services
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Sciences Po : à 70 ans, plus dynamique que jamais

Évolution du logo, élection d’un nouveau directeur, réforme de la quatrième année : l’Institut d’études politiques (IEP) de Strasbourg a connu de nombreux changements depuis le début de l’année 2015. Le point avec Gabriel Eckert à l’occasion des 70 ans de Sciences Po Strasbourg, célébrés ce vendredi 9 octobre. 

Vous avez profité de cette année anniversaire pour insuffler une nouvelle identité à l’IEP, pourquoi ?
Le logo de l’institut datait d’une bonne quinzaine d’années, la précédente direction a donc souhaité rajeunir et dynamiser l’image de l’IEP en créant un nouveau logo plus contemporain, plus lisible et qui fédère davantage. Nous avons toujours navigué entre une identité institutionnelle avec le nom Institut d’études politiques et une identité de marque, Sciences Po. Nous avons choisi de mettre cette deuxième identité, davantage historique, en avant dans notre logo. 

Cette année est aussi celle de la mise en œuvre de la réforme de la quatrième année de formation. En quoi consiste-t-elle ?
Une réforme de l’ensemble du diplôme de l’IEP a été mise en œuvre depuis plusieurs années. Elle est basée sur deux logiques. La première consiste à faire en sorte que les trois premières années soient pluridisciplinaires et interdisciplinaires. Ce premier volet de réforme consistait donc à renforcer ou rétablir cela pour former des cadres polyvalents. Dans un second temps, nous jouons de cette pluridisciplinarité tout en donnant aux étudiants une spécialisation en quatrième et cinquième années, pour faciliter leur insertion professionnelle. Le dernier volet de la réforme consiste à renforcer cette spécialisation en quatrième année pour qu’elle soit mieux liée aux 14 masters 2 que nous offrons. Nous avons donc réformé les trois filières existantes – Droit et administrations publiques, Economie et entreprises, Etudes européennes et internationales – et nous en avons créé une quatrième, Politiques et sociétés. 

L’axe central de votre programme concerne l’internationalisation de l’offre de formation. Comment cela va-t-il se concrétiser ?
Renforcer la dimension européenne et internationale des formations de l’IEP est une volonté forte de nos équipes. Nous travaillons pour la traduire dans notre offre de masters dans le cadre de la réforme de l’offre de formations 2018-2022. Si nous proposons déjà un master en économie en anglais, nous souhaitons que davantage de cours soient dispensés en langue étrangère. Nous pensons aussi ouvrir des doubles diplômes dès le premier cycle ou proposer les trois premières années de formation dans trois pays différents pour offrir une formation totalement trilingue. Nous sommes un lieu tourné vers l’Europe et le monde – avec 40 % de nos diplômés qui s’intègrent dans le monde professionnel à l’étranger – nous voulons donc afficher cette vocation internationale dans le contenu de nos formations. 

Quels sont vos autres objectifs en tant que nouveau directeur ?
Ce travail sur l’excellence de la formation doit se conjuguer avec la solidarité. Le programme Egalité des chances fonctionne très bien à l’IEP. Dans la promotion entrante, sur 200 étudiants, 21 sont issus de ce programme. C’est un chiffre en constante progression et nous souhaitons fortement que cela continue. J’aimerais également mener une réflexion sur l’innovation pédagogique. Une chargée de mission a été nommée dans ce domaine, elle travaillera en concertation avec l’Institut de développement et d’innovation pédagogiques. Nous souhaitons d’ores et déjà valoriser le travail personnel de l’étudiant et mettre en place une offre de cours électroniques en cinquième année. Nous allons aussi réfléchir à la valorisation de la vie associative dans le cursus de nos étudiants.

Toutes ces ambitions ne seront-elles pas freinées par l’arrêt du chantier du Pôle d’administration publique et Pôle de compétences en propriété intellectuelle (Paps-PCPI) dans lequel l’IEP doit déménager ?
Ce n’est pas un frein, cela rend simplement plus difficile la réalisation de nos ambitions. Malgré ce problème, nous avons pu mettre en œuvre la réforme de la quatrième année qui nécessitait un nombre d’heures plus important et donc de salles. Avec le soutien de l’Université de Strasbourg et des collectivités locales, nous avons trouvé des solutions. La situation reste compliquée à cause de la circulation de nos équipes et de nos étudiants sur plusieurs sites. Mais cela ne doit pas empêcher notre développement ! 

Propos recueillis par Floriane Andrey

Suivre la cérémonie des 70 ans en vidéo sur UTV

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L’université ajoute la corde de l’insertion professionnelle franco-allemande à son arc

Avec le recrutement d’une chargée de mission à l’insertion professionnelle franco-allemande, l’Université de Strasbourg souhaite renforcer sa coopération transfrontalière. Depuis la rentrée, au sein de l’Espace avenir, Agnès Bousset s’occupe d’étudiants, de doctorants et de diplômés qui souhaitent entrer dans la vie active de part et d’autre du Rhin.

Malgré sa position frontalière, les relations de Strasbourg avec son pays voisin d’outre-Rhin ne coulent pas de source. La création de ce poste1, visant à favoriser l’insertion professionnelle franco-allemande, traduit la volonté politique de l’université de promouvoir la coopération transfrontalière. Outre la multiplication des doubles diplômes et la restructuration d’Eucor-Le Campus européen, la prise en compte de cet enjeu fait partie des projets de collaboration qui animent l’échange (post-)universitaire franco-allemand. Agnès Bousset travaillera la moitié du temps au sein de l’Espace avenir afin de créer des projets à destination du public de l’université. L’autre moitié de son temps sera consacrée au développement de l’insertion professionnelle pour Eucor-Le Campus européen, en lien étroit avec quatre autres universités du Rhin supérieur.

Avec ses collègues de l’Espace avenir, Agnès Bousset prendra part à l’action Prêt pour l’emploi. Du 9 au 24 novembre 2015, les étudiants sont invités à passer des simulations d’entretiens d’embauche en français, anglais et allemand devant un binôme composé d’un représentant d’entreprise et d’un conseiller d’orientation, suivi d’un débriefing. La chargée de mission fera partie du binôme pour les entretiens en allemand et fera appel à son réseau d’entreprises, si nécessaire, pour trouver des professionnels d’outre-Rhin.

Elle a prévu d’assurer huit permanences2 à l’Espace avenir jusqu’à la fin de l’année universitaire. « L’objectif est d’aider les étudiants qui souhaitent faire un stage en Allemagne à établir un CV et une lettre de motivation type en allemand, identifier les erreurs à ne pas faire en entretien et les aiguiller pour leur recherche de stage. » Trouver des informations pertinentes concernant les offres de stage à l’étranger est compliqué. En outre, Agnès Bousset envisage de valoriser des programmes de mobilité professionnelle et interculturelle proposés, entre autres, par l’Office franco-allemand pour la jeunesse.

Après ses études d’allemand et de russe à Bruxelles, Agnès Bousset a acquis de l’expérience à Moscou, puis à l’Institut français de Berlin en promouvant la mobilité étudiante. Motivée par la possibilité de continuer dans la coopération universitaire, la chargée de mission veut créer un réseau d’entreprises allemandes en France et en Allemagne. Elle passera au crible les bases de données de stages et elle visitera des salons pour l’emploi en Alsace à la recherche d’entreprises allemandes afin de mieux collaborer et de renforcer l’insertion professionnelle franco-allemande.

Miriam Hagmann-Schlatterbeck

1 Le poste bénéficie de crédits de financement IdEx

2 Liste des permanences :

  • Mardi 10 novembre de 13 h à 17 h
  • Mercredi 9 décembre de 13 h à 17 h
  • Jeudi 21 janvier de 13 h à 17 h
  • Mardi 26 janvier de 13 h à 17 h
  • Mercredi 23 février de 13 h à 17 h
  • Vendredi 18 mars de 13 h à 17 h
  • Mardi 5 avril de 13 h à 17 h
  • Mardi 3 mai de 13 h à 17 h

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La technicité du Centre de biologie intégrative (CBI) reconnue et primée

Crédit : Geoffroy Mathieu

Les concepteurs du bâtiment CBI, inauguré en janvier dernier et intégré au site scientifique de l’IGBMC (Illkirch), ont été récompensés par un trophée Clé d’or pour la réalisation du projet. Un prix qui consacre l’excellence de cette structure quasi-unique en son genre.

À leur échelle, les trophées Clé d’or sont au bâtiment et travaux publics ce que les Oscars sont au cinéma ou les médailles des JO au sport : une distinction qui valorise les plus belles réalisations du secteur. Demathieu & Bard, société lorraine de construction, a reçu vendredi 25 septembre ce trophée, pour la qualité du travail réalisé à Illkirch. Le Centre de biologie intégrative, assemblage harmonieux de blocs rectangulaires s’élevant sur cinq niveaux, relie les bâtiments de l’IGBMC (Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire) à l’ICS (Institut clinique de la souris), contribuant ainsi à l’intégration du site.

« Le bâtiment du CBI a été pensé pour favoriser les interactions entre chercheurs », explique Nicolas Bensel, coordonnateur des opérations scientifiques et logistiques. En raison de la sensibilité d’équipements de très haute technologie, notamment en imagerie, la conception du bâtiment a dû prendre en compte plusieurs contraintes technologiques, dont une limitation maximale des sources de vibrations et de champs électromagnétiques (luminaires, circulation de fluides) et un agencement des locaux en fonction des caractéristiques des équipements à installer.

Des émules en Allemagne, en Italie, aux USA…

Le responsable de tant de précautions ? Il s’appelle Titan Krios, un cryo-microscope électronique capable de visualiser des molécules à l’échelle atomique. « C’est déjà un équipement rare, mais la configuration particulière dans laquelle il a été installé au CBI ne trouve que trois ou quatre équivalences dans le monde », estime Bruno Klaholz, chercheur en biologie structurale intégrative. Une salle a été conçue sur-mesure pour cet équipement de pointe. « Afin de limiter au maximum tout risque de champ électromagnétique, un protocole de maillage précis des structures métalliques du bâtiment a dû être suivi, ce qui ne se fait que de manière très exceptionnelle  », poursuit Nicolas Bensel. Pour une sécurité maximale, la pièce est située non pas en cœur de bâtiment, comme on pourrait s’y attendre, mais en périphérie, afin que l’environnement (étage supérieur et locaux en périphérie) interfère le moins possible. Pour mener à bien ce projet hors-norme, les scientifiques du futur bâtiment, le coordonnateur des opérations scientifiques et logistiques et le responsable des services généraux du site IGBMC ont travaillé pendant sept ans main dans la main avec les architectes Celnikier et Grabli et la société Demathieu & Bard pour l’élaboration du cahier des charges, éclairant les architectes de « certaines spécifications techniques très pointues ». « Demathieu & Bard ont été très impliqués, flexibles et proactifs, acceptant de revoir à notre demande les plans et la mise en œuvre», apprécie Bruno Klaholz.

Pour un résultat que le scientifique apprécie tous les jours : « Avoir un tel concentré de techniques d’imagerie à des échelles allant du niveau atomique à celui du petit mammifère en passant par la cellule est rare. Signe que nous avons fait le bon choix, notre concept de bâtiment de biologie intégrative, qui regroupe sur un même site la production de protéines et les équipements pour leur caractérisation structurale (microscopie, cristallographie, imagerie) a été repris à Hambourg, en Italie et aux États-Unis. » Dans le couloir du bâtiment flambant neuf, il s’arrête devant un poster présentant l’ensemble de ces instruments : « Sans ce détecteur direct d’électrons, par exemple, nous n’aurions pas pu faire cette étude sur la synthèse des protéines humaines. »

En janvier dernier, UTV consacrait un reportage au Centre de biologie intégrative :

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E. C.

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Service facturier : en route pour une dématérialisation complète

Six des huit membres du service facturier, avec, à gauche, Antoine Mazenod et Jean-François Kapps.

Lancé en avril 2013, le mouvement de centralisation de toutes les factures de l'université au sein d'un service facturier touche à sa fin. Les gains espérés sont là, même si des marges de progrès sont encore possibles.

Entre 300 et 400 factures parviennent chaque jour au service facturier. Six gestionnaires s'activent à traiter cette importante masse de documents – factures en elles-mêmes, mais aussi pièces justificatives ou avoirs -, sur les huit agents qui composent le service facturier. Une équipe qui a vu ses effectifs renforcés au fur et à mesure des vagues de rattachement des services, composantes et laboratoires de l'université au service facturier. « Dès la mise en place de ce service, une première vague a été lancée. Deux ans et demi et cinq vagues plus tard, tous les services sont désormais intégrés », rappelle Jean-François Kapps, à la tête de l'agence comptable. Concrètement, alors qu'auparavant, les factures d'achats de billets de train, d'équipements scientifiques, de fournitures de bureau, d'ouvrages, de revues électroniques, etc., parvenaient et étaient traitées par les composantes, la très grande majorité est désormais directement adressée au service facturier.
Les gains attendus sont là : cette centralisation permet une meilleure traçabilité des factures, un gain de temps pour les gestionnaires des composantes et des délais de paiement réduits. « Cette nouvelle organisation a permis de diminuer considérablement ce délai de paiement aux fournisseurs, passé de 34 jours en 2012 à une vingtaine aujourd'hui. Pour autant, seulement 52 % des factures reçues ont vu leur service fait être déjà réalisé par la composante concernée, permettant une mise en paiement rapide. Dans l'autre moitié des cas, la facture est bloquée. Sur ce point, nous disposons d'une importante marge de progression », nuance Jean-François Kapps.

Dématérialisation en marche

Trônant sur un bureau, le scanner a tout, à première vue, d'une imprimante. « Elle nous permet de scanner 50 factures par minutes », explique Patrick Vonthron, chef du bureau facturier. Il faut bien ça pour traiter les 65 000 factures qui transitent ici chaque année. C'est le logiciel de traitement des factures qui a modifié les habitudes de travail des services : « Ce logiciel utilisé par le bureau facturier leur permet de visualiser leurs factures, mais envoie aussi automatiquement des messages de rappel aux composantes en cas de facture reçue mais dont le service fait n'a pas été exécuté », détaille Antoine Mazenod, chef du département dépenses.
Dans le couloir de la direction s'alignent les factures et les pièces justificatives reçues, dans des cartons. « Cela représente un volume en constante baisse, de 120 mètres linéaires annuels pour l'année 2010 à 75 mètres en 2014, en grande partie grâce à la numérisation », précise Jean-François Kapps. Une conservation est encore nécessaire au regard des exigences de la Cour des comptes et des services fiscaux.
Pour autant, les réformes concernant les factures ne sont pas prêtes de s'arrêter : un grand mouvement national sera lancé sur la période 2017-2020, car la réception des factures en version papier disparaîtra au profit d'une version dématérialisée, obligatoire via un portail mis à disposition par l’Etat. « Et nous réfléchissons à la mise en place d'un service facturier recettes, toujours dans le but d'une optimisation des flux financiers de l'université », indique Jean-François Kapps.

E.C.

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Encore perdu sur le campus ?

Boussole des campus

Les étudiants et les personnels ont fait leur rentrée il y a maintenant un mois. Cependant, quelques-uns sont encore à la recherche d’un amphithéâtre ou d’une salle de réunion…

Disponible dans les composantes, au Service de la vie universitaire, à l’Espace avenir ou encore au guichet multiservices (bâtiment Le Platane, sur le campus de l’Esplanade), la Boussole des campus regroupe l’ensemble des plans des campus de l’Université de Strasbourg.

On y trouve un plan de chacun des onze sites géographiques de l'université, un plan d'implantation des bibliothèques, ainsi qu'un plan général du centre de Strasbourg.
Editée en format Z-Card, elle est pratique à ouvrir et à refermer et tient facilement dans une poche de pantalon.
Elle est également disponible en version numérique sur le portail unistra.fr

Contact : Déborah Aubry-Thomas - Service de la communication - deborah.aubry@unistra.fr

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La désynchronisation circadienne accélère le vieillissement cellulaire

Des chercheurs de l’Institut des neurosciences cellulaires et intégratives et de l’Institut pluridisciplinaire Hubert-Curien ont découvert qu'une perturbation des cycles jour-nuit, même très courte, accélère le vieillissement cellulaire.

Tous les animaux, humains comme rongeurs, présentent des activités biologiques périodiques et prévisibles. Une altération de ces rythmes, ou désynchronisation circadienne, est maintenant identifiée comme une condition à caractère pathogène, mais dont les mécanismes physiopathologiques restent mal connus. Des chercheurs de l’Institut des neurosciences cellulaires et intégratives et de l’Institut pluridisciplinaire Hubert-Curien révèlent que trois mois consécutifs de perturbations des cycles jour-nuit suffisent pour induire un vieillissement cellulaire prématuré et un état pré-diabétique chez un rongeur diurne. Cette étude est publiée dans la revue FASEB Journal.

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L'Institut d’urbanisme et d’aménagement régional a 40 ans cette année

L'année universitaire 2015-2016 marque les 40 ans de l'Institut d’urbanisme et d’aménagement régional de l'Université de Strasbourg.

Dans ce cadre, l'année sera ponctuée par plusieurs manifestations, dont la première se déroule ce vendredi 9 octobre, jusqu'à 18 h, articulée autour de la thématique “Ville et environnement”.

Grâce à une offre complète de formations et à un adossement recherche au sein du laboratoire Sociétés, acteurs, gouvernement en Europe (Sage, UMR 7363 CNRS-Unistra), l'Institut témoigne, depuis 40 ans, de la tradition bien établie autant que de la vigueur actuelle des études urbaines, rurales et d’environnement inscrites dans les sciences sociales à Strasbourg.

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60 ans d’études hébraïques et juives à l’Université de Strasbourg

Mercredi 14 et jeudi 15 octobre 2015, le département d’études hébraïques et juives de l’Université de Strasbourg fête ses 60 ans.  À cette occasion, un colloque en hommage à André Neher, fondateur du département et grande figure de la pensée juive française de l’après-guerre, a lieu au Palais universitaire, salle Pasteur (9 place de l’Université).

Gratuit et ouvert à tous, ce colloque offre l’opportunité de découvrir la pensée d’André Neher, ainsi que la variété des études hébraïques et juives dans toutes leurs dimensions : histoire du peuple juif, littérature hébraïque, études interculturelles et philosophie juive.

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Un véhicule à hydrogène conçu de A à Z par des étudiants en mécatronique

Crédit : Laurent Godoy

Depuis septembre, les étudiants du master 2 Mécatronique et énergie travaillent à l'élaboration d'un véhicule électrique utilisant une pile à combustible alimentée à l’hydrogène.

Double objectif du projet : former les étudiants à la maîtrise des nouvelles énergies et à la gestion de projet. L’objectif, à terme, est de participer au challenge EducEco et confronter le prototype avec ceux des quelques écoles qui ont osé l’aventure de l’hydrogène comme source d’énergie.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2015

 Octobre Novembre
<strong>Conseil académique</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;24
<strong>Congrès</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;/
<strong>Conseil d'administration - CA</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;03
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;13&nbsp;17
<strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong>
14 h 30 - Mercredi
&nbsp;/&nbsp;/
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong>
14 h 30 - Mardi
&nbsp;20&nbsp;/
<strong>Conférence des directeurs des unités de recherche</strong>
10 h - Vendredi
&nbsp;16&nbsp;/
<strong>Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux</strong>
9 h - Lundi
&nbsp;/&nbsp;23
<strong>Comité hygiène et sécurité des conditions de travail</strong>
14 h - Lundi
&nbsp;/&nbsp;30
<strong>Comité technique d'établissement</strong>
14 h - Mercredi
&nbsp;14&nbsp;/

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