Université en action

Anne Klebes-Pélissier, vice-présidente Relations internationales

Anne Klebes Pélissier* est, depuis 3 ans, directrice des relations internationales de l'IEP et a rejoint l'équipe présidentielle. Elle souhaite pouvoir assurer, dans un cadre qui reste à préciser, la décentralisation des compétences RI au sein des composantes, en particulier dans l'intérêt de l'étudiant et promouvoir une stratégie internationale de l'université lisible et complémentaire de celle des composantes.

Pourquoi avez-vous accepté cette nouvelle fonction ?

J'exerce depuis une dizaine d'années dans ce domaine d'activités. Responsable pédagogique pour l'accueil d'étudiants étrangers et pour les étudiants se destinant à la mobilité, j'ai été impliquée dans la gestion de programmes, de formations à l'international et dans la réflexion stratégique internationale de composantes. Cela dit, même si j'ai été très honorée par la demande qui m'a été adressée, la décision ne fut pas très facile à prendre, compte tenu du changement de configuration, de l'ampleur des enjeux, des attentes de notre communauté universitaire et de nos partenaires. Si le développement de la stratégie internationale de l'Université de Strasbourg peut s'avérer difficile notamment en raison du changement d'échelle, il pourra toutefois bénéficier du fort potentiel préexistant tous champs disciplinaires confondus.

Quelles sont vos priorités politiques ?

Il ne s'agit pas de mes priorités mais de celles de l'Institution avec un souci de communication/discussion interne qui doit encore être amélioré. Elles sont analysées avec l'équipe présidentielle et en collaboration avec les autres partenaires institutionnels de l'Université. Elles s'intègrent dans une stratégie internationale qui se dessine nécessairement progressivement.

Nos trois universités avaient mis en place de nombreux partenariats en matière d'échanges, de formation, de recherche et de participation à des réseaux, qu'il faut renforcer et il faut en promouvoir d'autres. Il est important d'intégrer ces partenariats dans des axes géographiques/stratégiques clairs. Un des axes correspond aux partenaires importants : Amérique du Nord (Etats-Unis/Canada) le Japon, la Chine et l'Inde par exemple. Un autre axe est illustré par notre « politique de voisinage » vers le Sud et l'Est, incluant l'Europe Centrale et l'Europe de l'Est et bien sûr le bassin méditerranéen. D'autre part, la stratégie de développement des relations vers les pays francophones doit être évidemment maintenue.
Et enfin, l'axe transfrontalier explique aussi une forte volonté de poursuivre la création de formations bi ou tri-nationales à l'image des formations labellisées EUCOR. Cela suppose aussi une réflexion sur le soutien à l'encadrement de ces formations. Très concrètement, nous avons un projet de master tri-national en cours de négociation qui doit associer les Universités et les villes de Strasbourg, Bruxelles et Luxembourg ainsi que l'Organisation internationale de la francophonie.

Qu'allez-vous proposer pour promouvoir et développer la mobilité des étudiants inscrits à l'université ?

Pour renforcer cette mobilité étudiante, il faut d'abord convaincre les étudiants de l'intérêt de partir, c'est tout l'objet de la journée mobilité que nous organiserons à l'automne, mais il faut surtout renforcer l'encadrement de terrain adéquat au sein des composantes. Il faut également essayer d'améliorer la qualité de l'accueil des étudiants étrangers en collaboration avec la formation et la recherche.
A cet égard, nous allons nous engager dans un processus de labellisation de l'accueil des étudiants étrangers et, en conséquence, mettre en place une série d'actions concrètes définies dans un cahier des charges pour garantir un accueil de qualité.

Et celle des enseignants-chercheurs et personnels ?

La question du développement à la mobilité enseignante ne date pas d'aujourd'hui. Il faut réfléchir aux moyens de la soutenir, notamment matériellement, l'aide financière octroyée dans ce cadre par la Commission européenne ne suffisant pas toujours à couvrir l'intégralité des frais. Or, l'intérêt premier de cette mobilité, au-delà de l'enseignement, est de pouvoir développer de futurs partenariats avec des établissements étrangers. C'est ainsi que j'ai commencé comme bon nombre de mes collègues. Enseigner par exemple en Angleterre a finalement débouché sur la création d'un diplôme bi-national. Les partenariats internationaux qui se tissent entre universités sont très souvent le résultat de contacts pris personnellement dans le cadre d'activités d'enseignement ou de recherche.

En ce qui concerne les personnels administratifs, cette mobilité est également possible et soutenue par la Commission européenne. Il est important de la promouvoir afin de permettre l'échange des bonnes pratiques.

Quelle sont vos idées pour favoriser l'attractivité de l'université auprès des étudiants et des enseignants-chercheurs ?

L'Université bénéficie déjà d'une forte notoriété internationale dans ses différents domaines d'excellence, mais peut-être faudrait-il, dans un premier temps, développer une stratégie de communication externe pour renforcer l'attractivité de notre université et développer des outils de valorisation des programmes d'échanges.

Propos recueillis par Agnès Villanueva



* Anne Klebes Pélissier a également été quelques années chargée de mission auprès de Florence Benoit-Rohmer, présidente de l'Université Robert Schuman et en charge des relations internationales de la Faculté de droit, de sciences politiques et de gestion.

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Schéma directeur immobilier : le diagnostic est posé

L'Université de Strasbourg intègre les patrimoines immobiliers des trois établissements universitaires précédents et de l'IUFM. Elle en a la gestion complète, et  doit l'administrer au plus près de ses besoins et moyens financiers forcément limités.

Le patrimoine de l'Université de Strasbourg, aujourd'hui, c'est 600 000 m2, 145 bâtiments en plus ou moins bon état, 5 sites principaux (l'Esplanade & le campus historique, le campus de médecine, Schiltigheim-Cronenbourg, la Meinau, Illkirch), des sites plus éloignés (Haguenau, Sélestat, Colmar, Guebwiller), et des bâtiments isolés. Tous diversement reliés entre eux et connectés au réseau de transports en commun. L'équivalent d'une ville moyenne !

« Dans ces conditions, la principale raison d'être du schéma directeur immobilier est de dresser un état des lieux de la situation actuelle en confrontant l'état du bâti aux usages puis définir un plan d'action stratégique de mise en cohérence immobilière. Cette démarche est aujourd'hui indispensable pour construire l'outil qui accompagne efficacement les choix politiques de notre université » explique Pierre Untereiner, qui suit la procédure du schéma directeur au sein de la Direction du patrimoine immobilier.

Le schéma directeur immobilier s'inscrit dans une démarche partenariale avec la Caisse des dépôts. Les collectivités locales ont été largement associées à la démarche pour que ce schéma s'inscrive dans les développement urbains (transport, aménagement, etc.).

Une première étape vient d'être franchie, avec la remise du diagnostic établi par le cabinet Algoe. Un recensement complet des surfaces, de l'état du bâti, des usages, des affectations, de l'occupation des locaux, des consommations énergétiques a été réalisé. Il pointe quelques incohérences et des utilisations non-optimales des mètre-carrés. Mutualiser certains espaces, rechercher des synergies en regroupant les activités sur des sites avec une thématique forte et lisible, revoir la répartition des surfaces en fonction des besoins réels, intégrer à la stratégie générale l'état « énergétique » des bâtiments, remettre à niveau les bâtiments en établissant des priorités d'investissement, inscrire les opérations dans la politique de développement urbain des collectivités locales, valoriser certains bâtiments : autant de pistes afin d'établir une stratégie donnant des perspectives plus lisibles, qui sera présentée dans les différents conseils.

Le schéma directeur immobilier a été présenté et discuté avec les usagers de l'université sur les sites de la Meinau puis de l'Esplanade à la fin du mois de mai. Des réunions équivalentes sont prévues sur le site d'Illkirch et celui de Cronenbourg le mardi 23 juin.

Contact : Pierre Untereiner
Pierre.untereiner@unistra.fr

Pierre.untereiner@unistra.fr
C.L.

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Le tour des services : la direction de la recherche

En ordre de marche dès janvier 2009, la Direction de la recherche de l'Université de Strasbourg, dirigée par Béatrice Meier-Muller, met en place de nouveaux dispositifs à même de lui permettre d'assumer son nouveau rôle d'opérateur de la recherche.

Comment s'est passée la fusion ?

Elle s'est bien passée pour nous. Il existait un service dans chaque université dédié à la recherche, avec des missions assez similaires. Le travail de rapprochement s'est opéré dès 2007, par la constitution de groupes de travail réunissant les directeurs d'unités de recherche, d'écoles doctorales, les responsables de services et les vice-présidents. Un premier organigramme a été proposé en septembre 2008, validé dans la foulée et présenté aux membres du service au cours d'un séminaire hors les murs, qui leur a permis de faire connaissance. Tout ceci fait que début janvier 2009, le projet de service était construit, les personnes se connaissaient, le terrain était préparé pour un passage en douceur au travail en commun. Le 5 janvier, nous avons tous emménagé dans nos nouveaux locaux : le bâtiment de la Faculté de droit pour les uns, l'Escarpe pour les autres.

Quelles sont vos missions ?

En plus des missions traditionnelles de gestion du Conseil scientifique, de suivi du volet « recherche » du contrat quadriennal, et des études doctorales, la Direction de la recherche a désormais un rôle d'opérateur de la recherche à assumer. La création d'une unité budgétaire unique « recherche », qui centralise et gère l'ensemble des ressources financières de la recherche hors valorisation, nous a placés dans un positionnement plus stratégique. Les moyens ainsi globalisés doivent être redistribués dans les unités de recherche en fonction de critères définis par le conseil scientifique. Un de nos objectifs est donc aujourd'hui de mieux connaître les 79 unités de recherche de l'Université pour mettre en place des contrats objectifs/moyens, connaître leurs besoins en personnel, leurs projets de gros investissements… et devenir un partenaire à part entière pour elles.
Nous travaillons également à la mise en place du collège des écoles doctorales, qui réunit les directeurs des 10 écoles doctorales et des doctorants dans une assemblée consultative, qui doit être le lieu privilégié du débat concernant les études doctorales : procédures de soutenance, habilitations à diriger des recherches, etc. Ce collège travaille avec nous à la rédaction de la charte des thèses qui sera applicable à l'automne.

Avez-vous rencontré des difficultés particulières ?

Nous avons eu un peu de mal à travailler normalement pendant le mouvement de contestation étudiante de l'hiver dernier. Le fonctionnement de la Faculté de droit a été fortement perturbé. Il était donc difficile d'accéder à nos bureaux, de sortir pour aller en réunion, d'accueillir nos interlocuteurs et tout simplement de trouver le bon rythme de travail.

Que vous a apporté la fusion ?

Ce que j'apprécie vraiment, c'est l'apport de la pluridisciplinarité dans les débats au conseil scientifique. Chaque champ disciplinaire apporte désormais son propre regard sur les dossiers. C'est vraiment enrichissant !


Propos recueilis par Caroline Laplane


Les données clés de la Direction de la recherche

  • 34 personnes
  • 3 départements :

    • Formation doctorale
    • Administration de la recherche
    • Financement de la recherche

  • 10 écoles doctorales
  • 79 unités de recherche :

    • 6 UPR CNRS
    • 31 UMR labellisées ou conventionnées avec le CNRS
    • 8 unités Inserm/Université
    • 1 UMR INRA/Université
    • 33 équipes d'accueil

Implantation

  • Départements « Administration et Financement de la Recherche »
    Bâtiment de la Faculté de droit
    1 place d'Athènes
  • Département « Formation doctorale »
    L'Escarpe
    11, rue du Maréchal Juin

Contact

Direction de la Recherche
Tél. 03 88 41 43 44
Courriel : frederique.monteil@unistra.fr

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Retour sur le CA du 9 juin 2009

Trois points principaux ont été débattus lors du dernier Conseil d'administration : les crédits pour  la recherche, la gestion des personnels enseignants et l'offre de formation.

Crédits pour la recherche
Une présentation extrêmement argumentée a permis de prendre connaissance de la méthode proposée par le Conseil scientifique, pour répartir la dotation globale de fonctionnement pour la recherche. Le montant de cette dotation, hors salaires et infrastructures, s'élève à 8,661 M€.
Une augmentation de 6%, une répartition par domaines, 20% de la dotation sur critères de performances, caractérisent cette méthode.

Gestion des personnels enseignants

La création de l'Université de Strasbourg et le nouveau cadre légal ont nécessité une réflexion - menée au sein d'un groupe de travail associant de membres du conseil d'administration - sur le cadre dans lequel pouvait s'inscrire un certain nombre de mesures relatives aux personnels enseignants. Sur la base des propositions formulées et approuvées par le CTP, le conseil d'administration s'est ainsi prononcé sur le dispositif d'octroi des primes pour charges administratives, la prime d'excellence scientifique (dérogation à l'interdiction de cumul), la définition du niveau  du service complémentaire susceptible d'être effectué par les enseignants de l'université, les congés de maternité et de paternité (conséquences sur la définition du service des enseignants)  et les décharges de service pour les enseignants investis d'un mandat électif dans une collectivité. Le conseil d'administration a également approuvé le principe de la création d'une commission consultative paritaire compétente à l'égard des doctorants contractuels.

Offre de formation

Sept propositions adoptées par le CEVU ont été discutées et adoptées avec comme caractéristique principale le partenariat pour favoriser l'insertion professionnelle. A noter en particulier la mise en place à la rentrée prochaine d'un parcours commun entre l'Université de Strasbourg et le Conservatoire de Strasbourg qui se traduira par la délivrance de la licence de Musique et des diplômes du Conservatoire ou la création d'un parcours Conseiller de clientèle professionnelle en apprentissage au sein du master 2, mention Management spécialisé à l'Ecole de management.
Le DU de l'ITIRI a fait l'objet d'un rappel du contexte dans lequel est né et a évolué l'institut. Monté par la Chambre de commerce et d'industrie, l'institut a intégré l'Université Marc Bloch dans les années 80. Pour l'heure, le financement du diplôme est hybride. Le diplôme est en effet constitué pour une part en formation initiale – à ce titre il a fait l'objet d'une habilitation - et pour une autre part d'un DU qui vient en complément et donne lieu à versement de droits spécifiques. Si la qualité de ces formations est reconnue à l'unanimité, la question de leur mode de financement sera examinée par un groupe de travail mis en place au sein du CEVU et par le nouveau service d'Audit interne.

D'autres idées
Les sujets à portée stratégique ne sont pas les seuls à susciter des idées : le point concernant les cotisations de l'université à des organismes nationaux et internationaux qui doit nécessairement être validé par le CA pour que l'agent comptable puisse en assurer le paiement, a permis non seulement d'avoir une première approche de l'étendue de ces appartenances, mais aussi de lancer une réflexion sur l'importance des réseaux internationaux.

Le dernier Conseil d'adminsitration de l'année universitaire se réunira le 30 juin. Rendez-vous en juillet !

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Psychologie et sciences de l'éducation : séparation en douceur

La Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation se divisera officiellement au 1er septembre prochain. Une séparation bien mûrie, toute en douceur, actée par une petite cérémonie en présence du président Beretz le 15 juin dernier.

« L'existence d'une faculté unique pour la psycho et les sciences de l'éducation remonte à la scission de la précédente université de Strasbourg et de la ventilation des disciplines entre l'ex-ULP et l'ex-UMB, explique Christian Kelche, doyen de cette faculté. Depuis 30 ans, on fonctionnait plutôt bien comme ça, composante avec deux sous composantes de taille inégale (1 300 étudiants en psycho à peu près, 700 en sciences de l'éducation). La vie commune était sereine ». La création de la nouvelle Université de Strasbourg, notamment dans sa dimension collégium, qui impose la prise en compte des spécialités disciplinaires, est venue modifier la donne.

« La psycho a fait le choix d'intégrer le collégium « vie et santé », auquel les sciences de l'éducation ne pouvaient être associées. L'intégration de l'IUFM à l'Université de Strasbourg a permis la création d'un collégium consacré à l'enseignement et à la formation dans lequel les sciences de l'éducation trouvent naturellement leur place. » Les collégiums étant des « regroupements de composantes », cette nouvelle situation imposait donc que les sciences de l'éducation deviennent une composante à part entière : d'où la séparation d'avec la Faculté de psychologie.
La mesure sera effective au 1er septembre prochain. Restent à gérer les conséquences matérielles de cette séparation en douceur : statuts, personnels, moyens mis en commun.


C.L.

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La Hongrie à l'honneur à l'EM Strasbourg

Visite de la directrice des relations internationales de Corvinus University Budapest à l'Ecole de management Strasbourg et lancement du partenariat avec le Consulat de Hongrie.

Erzébet Veres, directrice des relations internationales de Corvinus University Budapest (Hongrie), se rend à l'EM Strasbourg pour développer l'accord d'échange entre les deux institutions.
Une cérémonie officielle en présence notamment de Richard Jungto, consul honoraire de la république de Hongrie, Michel Kalika, directeur de l'EM Strasbourg, Babak Mehmanpazir, directeur délégué du Programme Grande Ecole et Ludwig Kreitz, directeur des relations internationales, aura lieu vendredi 19 juin 2009 de 17h15 à 18h30 dans les locaux de l'Ecole pour officialiser le partenariat entre l'EM Strasbourg et le Consulat de Hongrie.

Lire le communiqué de presse.

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Parution de la Newslettre de l'EM Strasbourg

Consultez la toute nouvelle newslettre de l'Ecole de management de Strasbourg :
http://www.em-strasbourg.eu/newsletter/001-juin2009/

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L'IHEE sur France 3

France 3 Alsace a réalisé une série de reportages sur L'héritage de l'art nouveau dans la vallée du Rhin supérieur. Le bâtiment qui abrite l'Institut des Hautes Etudes Européennes, la villa Knopf, construite entre 1903 et 1905 par les architectes Berninger & Kraft figure dans ces reportages. Si vous souhaitez voir ces documents, la série sera diffusée prochainement à 18h55 sur France 3 Alsace et sur alsace.france3.fr

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Recherche Assistant(e) de projet Savoir(s) en commun

La manifestation Savoir(s) en commun organisée par l'Université de Strasbourg recherche pour sa 8e édition qui se déroulera du 12 au 28 novembre 2009 un(e) assistant(e) de projet.

Cette personne sera chargée de l'organisation de la diffusion des supports de communication (affiches, programmes), de l'administration de supports de communication (vidéo, site internet), de l'animation d'une équipe étudiante, du suivi technique des salles accueillant les différents évènements et de la gestion de fichiers variés. Ce poste nécessite de la méthodologie organisationnelle, de l'autonomie, un bon esprit d'équipe et un bon sens de la relation publique.

Profil : Communication scientifique, Communication évènementielle
Durée : CDD de 3,5 mois du 1er septembre au 12 décembre 2008

Contact - merci d'envoyer votre candidature à :
Savoir(s) en commun
7 rue de l'Université
67000 Strasbourg

savoirs@u-strasbg.fr

http://savoirs.u-strasbg.fr

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Concours photo Savoir(s) en commun : « Moi, je … »

La 8e édition de Savoir(s) en commun se déclinera au mois de novembre 2009 autour de la thématique « Identités ». Pour illustrer cette nouvelle édition, le concours photo intitulé « Autoportrait : moi, je... » vient d'être lancé. Celui-ci invite à photographier une expression de soi sous des formes qui pourront se révéler multiples. Chaque photographie devra être accompagnée d'une courte légende qui complète l'expression : « Moi, je... ».

Les photographies devront être envoyées avant le 30 novembre 2009, accompagnées des coordonnées complètes de l'auteur sous format électronique (TIFF ou JPEG, 300 DPI, poids maximal 3 Mo) à l'adresse suivante : savoirs@u-strasbg.fr
Ou en tirage papier (18x24) à :
Savoir(s) en commun - Concours photographique
Maison du jardin
7 rue de l'Université
67000 Strasbourg

Les photographies primées seront dotées de prix, et pour beaucoup d'autres seront mises en scène, lors de la nouvelle édition de Savoir(s) en commun.

Pour plus d'infos : http://savoirs.u-strasbg.fr/2009/concours.php

"Moi, je... suis petite !"

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Directeur de l'ESBS : appel à candidats

Un appel à candidats est lancé pour un poste de directeur de l'Ecole supérieure de biotechnologie de Strasbourg (ESBS). Ce poste devra être pourvu à partir du 16 novembre 2009.

La date limite de candidature est provisoirement fixée au 1er septembre 2009.

Téléchargez l'appel à candidature.

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