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Laurent Wauquiez : "À l'Unistra, vous avez tout simplement tout réussi !"

Crédit photo : Stadler / Région Alsace

Venu tout spécialement à l'Université de Strasbourg pour la signature de la convention de financement de l'Initiative d'excellence (Idex), Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, a une nouvelle fois mis en avant l'exceptionnelle moisson de succès réalisée par l'Unistra, le CNRS et l’Inserm  dans le cadre des Investissements d'avenir.

La délégation ministérielle a débuté sa visite à l’Université de Strasbourg par la présentation du projet Digidiag (utilisation de nouvelles technologies microfluidiques pour le criblage à haut débit dans le cadre du LabEx Médalis), par Michaël Ryckelynck.
En salle de conférence, Laurent Wauquiez a été accueilli par Alain Beretz qui a rappelé les fondements majeurs du succès de l’Idex : qualité et stratégie. Il a été souligné que près de 40% des sommes attribuées à l'université dans le cadre de l'Initiative d'excellence seront consacrées à la formation, même si la recherche reste au cœur du projet.  Par ailleurs, le président a remercié chaleureusement l'ensemble des acteurs fortement impliqués dans ces dossiers d’excellence.
Puis ce furent successivement Pierre Michel (pour le Labex Gream - Groupe de recherches expérimentales sur l’acte musical), Jacques Marescaux (pour l'IHU MIX-Surg - Chirurgie mini-invasive guidée par l’image) et Jean-Marie Lehn (Labex CSC - Chimie des systèmes complexes) qui ont présenté, à un ministre très attentif, les points forts distinguant leurs projets.

Fier d'être le témoin de l'enthousiasme et de l'excellence de l'Université de Strasbourg


Philippe Richert, ministre des Collectivités territoriales et président du Conseil régional d'Alsace s'est dit fier d'être le témoin de l'enthousiasme et de l'excellence de l'Université de Strasbourg avant de conclure : "46 projets lauréats, c'est du vrai bonheur".
Enfin, Laurent Wauquiez s'exprima en rappelant la philosophie du programme Investissements d'avenir et souligna les résultats exceptionnels de l'Unistra, résultats obtenus grâce à son potentiel de recherche et sa pluridisciplinarité. Il félicita les chercheurs qui ont su combiner recherche fondamentale et recherche appliquée, privilégiant le principe de risque au principe de précaution.
Le ministre s'est vivement intéressé à l’approche transfrontalière des coopérations interuniversitaires. Il a reconnu que la barrière linguistique n’existait pas au sein de la communauté scientifique strasbourgeoise, surpris par le nombre de mains levées en réponse à sa question : "Qui ici parle l'allemand de façon professionnelle ?" Retenant que le site de Strasbourg a valeur d’exemple, Laurent Wauquiez a conclu : "C'est simple, à Strasbourg, vous avez tout simplement tout réussi !"
Dernier temps fort de la journée, la signature officielle de la convention de financement de l'Initiative d'excellence "Par-delà les frontières, l'Université de Strasbourg" attribuant une dotation en capital de 750 millions d'euros.

Pascal Wintz

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UHA-Unistra : rapprochement concret pour les "relations internationales"

Dès leur premier Conseil d’administration commun du 10 mai 2011, les présidents des universités de Strasbourg et de Haute-Alsace ont lancé une démarche « bottom-up » pour optimiser la mise en œuvre opérationnelle du rattachement. Ainsi, tous les services et structures des deux universités ont l’opportunité de se rencontrer et de faire remonter des propositions et actions à mettre en place. Les deux responsables des services des relations internationales (DRI) et leurs collaborateurs y ont tout de suite vu leur intérêt…

« Avant même le projet de rattachement, nous avions déjà eu l’occasion de discuter et d’échanger naturellement sur nos pratiques de manière informelle »,
commente Estelle Gay, responsable des relations internationales de l’UHA. « Notre démarche s’inscrit donc dans la continuité, simplement nous passons à une vitesse supérieure », ajoute-t-elle. « L’optique du rattachement a renforcé notre volonté de partager nos expériences et de collaborer. Nous souhaitons y participer et l’anticiper au mieux en étant force de proposition », souligne Roya Naddaf, directrice des relations internationales de l’Unistra.

Partager les idées puis les ressources


Depuis la rentrée 2011, trois rencontres ont déjà eu lieu et des groupes de travail sont en place. Les deux premières rencontres ont rassemblé à la fois les responsables administratifs et les porteurs politiques, afin de dresser un état des lieux des pratiques et des spécificités de chacun et de définir des actions communes. « Nos calendriers et procédures sont assez similaires en matière d’appels d’offres, de gestion de mobilité, de demandes de bourses, etc. Ils seront donc harmonisés dès la rentrée 2013 », explique Roya Naddaf. La discussion a également permis d’identifier des outils spécifiques aux uns et aux autres. « Par exemple, le service RI de l’UHA, n’a ni cellule d’aide au montage de projets ni chargée de communication. Une mutualisation des ressources dans le cadre du rattachement serait un plus », argumente Estelle Gay. Côté Unistra, la DRI en accord avec l’Agence comptable souhaite s’inspirer des pratiques mulhousiennes dans l’utilisation du logiciel « Move on » pour dématérialiser les virements de bourses. Le volet logement développé à l’UHA intéresse également les Strasbourgeois. En effet, pour compléter l'offre de logements disponibles via le Clous (Centre local des œuvres universitaires et scolaires), le service mulhousien a développé son propre réseau de propriétaires souhaitant louer des appartements à des étudiants étrangers dans le cadre de programmes de mobilité. Sur le volet politique, l’UHA sera associée au dispositif de pilotage des RI mis en place par l’Unistra. L’existence de chargés de missions par zones géographiques à l’Unistra comme référents pour les composantes a séduit l’UHA. Les idées ne manquent pas pour optimiser les services proposés à la communauté universitaire et de nombreuses pistes de réflexion ont été lancées dont certaines seront rapidement concrétisées.
En janvier dernier les deux équipes de terrain au complet se sont retrouvées afin de faire véritablement connaissance. Suite aux derniers Conseils d'administration des universités alsaciennes, le processus est aujourd’hui renforcé dans ses principes. Progressivement, les actions communes des deux services vont voir le jour.

Pour suivre l'actualité du rattachement, consultez le tout nouveau site dédié: www.uha.unistra.fr

Anne-Isabelle Bischoff

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Université recherche étudiants-voyageurs

Bernard Genton, doyen de la Faculté des langues et des cultures étrangères, est aussi chargé de mission « Amérique du Nord anglophone », auprès de la vice-présidente chargée des relations internationales. Son objectif : intensifier les échanges d’étudiants entre Strasbourg, les États-Unis et le Canada.

Quelle est votre mission ?

Ma mission consiste à organiser et à impulser la politique d’échanges entre l’Université de Strasbourg (Unistra) et un certain nombre d’universités anglophones d’Amérique du Nord.
À vrai dire, l’essentiel de nos échanges avec les États-Unis se fait, pour l’instant, par l’intermédiaire de l’École de Management (EM) et de l’Institut d’études politiques (IEP), qui ont inscrit dans leur scolarité un séjour obligatoire à l’étranger. La participation des autres composantes de l’université reste encore trop discrète.
C’est pourquoi, nous nous efforçons de diversifier et d’intensifier les contacts pour le reste de l’université, notamment dans le domaine des sciences humaines et sociales. Nous avons pu, ces deux dernières années, signer de nouveaux accords ou relancer des accords anciens en leur donnant un contenu nouveau.

Combien d’étudiants strasbourgeois partent étudier chaque année aux États-Unis ? Et combien d’étudiants américains l’Unistra accueille-t-elle ?

Pour cette année 2011-2012, 97 étudiants strasbourgeois sont partis aux États-Unis. Et nous accueillons 115 étudiants américains. Parmi les 97 étudiants strasbourgeois, 65 viennent de l’EM, 16 de l’IEP ; les 16 autres se répartissent entre dentaire, droit, maths, psychologie, langues… Pour les étudiants américains à Strasbourg, les proportions sont à peu près les mêmes.
D’un autre côté, on remarque avec satisfaction, que notre université entretient des rapports actifs avec une quarantaine d’établissements américains et canadiens sur la quasi-totalité du territoire nord-américain. Nous sommes bien sûr présents sur la côte Est, un peu moins sur la côte Ouest, nous sommes aussi à Vancouver, dans l’Ontario, dans le Saskatchewan - une autre province canadienne… et nous venons même de signer un accord-cadre avec la grande université anglophone de McGill, à Montréal.

Comment expliquez-vous ces résultats?

Il y a beaucoup de raisons à cela. En ce qui concerne l’accueil des étudiants américains, j’ai visité, l’année dernière, six ou sept universités de la Nouvelle Angleterre, et il m’a été dit à plusieurs reprises, que l’intérêt des étudiants américains pour un séjour d’un an en Europe n’était plus aussi fort que par le passé. Ils préfèrent venir pour des séjours plus courts, de quelques semaines ou quelques mois, plutôt que pour une année universitaire complète. Dans l’autre sens, pour les étudiants strasbourgeois qui souhaiteraient partir, ils en ont rarement les moyens. Malgré les bourses versées par l’université et les collectivités territoriales, une année universitaire à l’étranger représente un coût non négligeable. En outre, reconnaissons-le, il est parfois difficile de convaincre nos étudiants de « s’exiler » à l’étranger, même de manière temporaire. D’un autre côté, nous nous efforçons d’augmenter le nombre de postes de lecteurs de français dans les universités américaines, qui permettent aux étudiants de vivre dans le cadre d’une université américaine pendant un an.
Je m’étonne notamment que nous ayons tant de mal à faire voyager les étudiants de la Faculté de langues vivantes. En même temps, je me réjouis de constater que les candidatures Erasmus pour l’année prochaine présentées par les étudiants de la Faculté des langues et des cultures étrangères ont presque doublé. La dynamique est là, sans doute, et je souhaiterais vivement qu’elle puisse être étendue au continent nord-américain… mais c’est aussi une question de moyens.

De quel budget dispose l’Unistra pour aider les étudiants à voyager ?

Le budget de la Direction des relations internationales est d’environ 1,3 M €, dont 900 000 € proviennent de l’Europe pour Erasmus. Il reste donc 400 000 € pour l’ensemble de la politique internationale de l’université, y compris les bourses pour les étudiants qui partent ailleurs qu’en Europe. Il convient cependant d’insister sur un point : en vertu des accords que nous avons passés avec les universités américaines, les étudiants strasbourgeois, qui s’inscrivent dans l’une d’elles pour une année, ne paient pas les frais de scolarité, très élevés aux États-Unis.

Comment faire pour attirer plus d’étudiants américains et pour inciter plus d’étudiants strasbourgeois à partir ?

Pour les Strasbourgeois, nous organisons des réunions, nous insistons sur l’expérience, l’ouverture au monde que cela représente ; nous nous efforçons de rendre plus lisibles les aides financières. Pour les étudiants américains, nous mettons en avant la qualité de nos formations, l’attrait de Strasbourg, la visibilité de l’Unistra. L’une de nos difficultés est que nous avons très peu de cours en anglais, alors que de moins en moins d’étudiants américains parlent suffisamment bien le français pour suivre toute une scolarité en français.
Par ailleurs nous envisageons actuellement d’obtenir l’inscription de l’Unistra dans l’Institut des Amériques, groupement d’intérêt scientifique, qui proposera des bourses et des contrats doctoraux pour des étudiants américanistes, qu’ils s’intéressent au nord ou au sud de « l’hémisphère occidental ».

Propos recueillis par Jean de Miscault

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Une messagerie unifiée

Grâce à l’opération d’unification de la messagerie réalisée ce week-end du 18 mars, tous les personnels et étudiants bénéficient maintenant des mêmes fonctionnalités.

Si la majorité de la population universitaire a, de longue date, sa boîte aux lettres sur une messagerie globale (50 000 boîtes), il restait une faible proportion (600 boîtes) sur l’ancienne messagerie administrative de l’ex-Université Louis Pasteur. Cette messagerie avait deux inconvénients majeurs : un serveur en fin de vie et l’impossibilité d’utiliser la fonction de partage d’agendas avec le reste de l’université.
Le week-end du 18 mars a marqué le début du transfert des boîtes aux lettres et des agendas de l’ancienne messagerie (Exchange) vers la nouvelle messagerie. Ainsi, grâce au webmail SOGo et au client de messagerie Thunderbird, tous les personnels de l’université ont enfin l’opportunité de partager leurs agendas avec tous, en plus de consulter leurs courriers électroniques. Ils bénéficient au passage de l’augmentation substantielle de l’espace de stockage de leurs messages (plus de 15 fois supérieur).
Lundi 19 et mardi 20 mars, la Direction informatique s’est mobilisée pour assister ces utilisateurs. 70 personnels avec l’appui des correspondants informatiques des composantes se sont rendus dans les différents services pour accompagner les usagers.
Si tous les courriels et agendas ont, d’ores et déjà, été transférés, la migration se poursuit en ce qui concerne les carnets d’adresses. Le support est renforcé pendant 15 jours pour répondre en priorité aux demandes d’assistances liées à la migration.

Des formations à l’utilisation des outils SOGo et Thunderbird sont programmées dans les semaines à venir.  Il est fortement conseillé d’y participer pour bien prendre en main toutes les fonctionnalités des outils.

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Fouilles sur le campus : sous vos pieds, l’Histoire !

L’Opération campus prévoit de nombreux chantiers actuellement, mais surtout dans les années à venir, pour réaménager le quartier universitaire strasbourgeois de l’Esplanade. En avril 2011, la Mission Opération campus de l’Université de Strasbourg a présenté ses 24 projets à la Drac(1). D’après celle-ci, trois d’entre eux sont susceptibles d’être réalisés sur des fortifications de Vauban. Aussi a-t-elle mandaté l’Inrap(2) qui y a entrepris des fouilles préventives pour déterminer s’il faut y faire… des fouilles plus approfondies !

Trois fouilles préventives

Les trois lieux sondés sont ceux du restaurant universitaire Paul Appell, du futur hôtel des chercheurs rue Descartes et entre les instituts de géologie et de zoologie. Rien n’a été trouvé dans ce dernier endroit. Pour les deux autres projets, la Mission Opération campus attend les conclusions de la Drac : légère adaptation ou changement radical des projets pour y intégrer les murs de fortification trouvés ou encore, aucune incidence sur le projet et donc sur le planning.
Pour mémoire, deux morceaux des fortifications de Vauban sont déjà « visibles » sur le campus universitaire sans vraiment être mis en valeur : l’un sous l’amphithéâtre de l’UFR de mathématique et d’informatique et l’autre sous le bâtiment de l’Escarpe.

L’Opération campus prend en compte dans sa réflexion architecturale l’histoire de l’Esplanade

Avant l’université, l’Esplanade hébergeait l’arsenal de Strasbourg, lui-même construit sur les jardins et potagers de la ville, eux-mêmes cultivés sur des marais asséchés. Les nombreux parcs de la future carte du campus renouent ainsi avec les origines du terrain. « Pour dessiner le campus de demain, il faut connaître l’histoire du terrain. Pour faire un projet, il faut faire une coupe sédimentaire de toute l’histoire. À partir du sous-sol du 19-20e, on construit le 21e», explique Édouard Manini, directeur du projet campus de Strasbourg.

Fanny Del


(1) Drac : Direction régionale des affaires culturelles
(2) Inrap : Institut national de recherches archéologiques préventives

Pour en savoir plus sur l'Opération campus

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Au programme du Centre de culture numérique

Le 19 mars dernier, le Centre de culture numérique de l’université a ouvert ses portes à l’Atrium. Venez découvrir ce nouvel espace, réserver des salles et profiter de ses formations et conférences sur les technologies numériques et leurs enjeux.

Le spot numérique : espace de « coworking »

Dans le hall de l’Atrium, l’espace de travail partagé du centre nommé « spot numérique » vous est totalement ouvert de 9h à 19h. Vous pouvez y discuter, vous connecter et brancher votre ordinateur, vous installer confortablement dans les canapés pour travailler…

Réservation des espaces

Vous souhaitez développer un projet professionnel en groupe et vous avez besoin d’un espace doté d’un matériel adapté ? Vous voulez organiser une réunion avec une équipe distante ?
L’espace de formation et l’espace de travail collaboratif, tous deux équipés, peuvent être réservés pour des travaux de groupes, réunions, ateliers … que vous soyez membre du personnel ou étudiant de l’université.
Pour connaître les disponibilités ou pour toute question, contacter ccn@unistra.fr

Accompagnement des usagers : formations et permanences

Le centre accueille désormais très régulièrement des formations et des ateliers, ainsi que des permanences d’accueil et d’information pour vous accompagner dans vos usages du numérique. Les sujets sont très variés, allant de la plateforme pédagogique Moodle aux médias sociaux, en passant par la prise en main des tableaux blancs interactifs (TBI).

Les horaires des permanences d’accueil :

  • Lundi : 14h30 - 16h30
  • Mardi : 10h - 12h
  • Mercredi : 14h30 - 16h30
  • Jeudi : 10h - 12h

Lieu : Espace de formation - Centre de culture numérique - rez-de-chaussée de l'Atrium.
Il est également possible d'organiser des rendez-vous personnalisés ou de s'inscrire aux ateliers de formation.

Pour toute question, contacter dun-ipm@unistra.fr

Les conférences du centre

Ces nouvelles conférences mensuelles seront l’occasion de s’informer, discuter et se forger une opinion éclairée sur diverses thématiques liées au monde numérique. Gratuites et ouvertes à tous, elles se tiendront une fois par mois à 17h dans les amphithéâtres de l'Atrium.

À noter dans vos agendas, les deux premières conférences :

  • Jeudi 19 avril 17h, amphi AT8 : « Cyberespace : le « cyber far-west » ? », avec Alain Sevilla
  • Jeudi 10 mai 17h, amphi AT9 : « Le Calcul haute performance en Alsace pour les défis de l'industrie », avec Stéphane Requena et Christophe Prud'homme

Pour en savoir plus sur le projet et suivre l’actualité du centre, consultez la rubrique du site des Services numériques : Centre de culture numérique.

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UTV : la nouvelle version est lancée !

UTV, la web télévision des campus de l'Université de Strasbourg, change de formule : nouvelles émissions et nouveau look.

Son ambition ? Devenir la chaîne incontournable de la culture, de l'information et du dialogue de la communauté universitaire, en particulier pour les étudiants.
Animée par une équipe professionnelle, UTV se veut créative, réactive et pertinente.

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Semaine du handicap du 10 au 17 avril

Le Service de la vie universitaire/Mission handicap de l’Université de Strasbourg s'associe à plusieurs événements de la Semaine du handicap organisée par le Conseil général du Bas-Rhin et la Maison départementale des personnes handicapées du 10 au 17 avril.

Un « handi’chat » sur le thème « Handicap et université », le 10 avril à 18h. Cette action permettra à l’usager de poser directement ses questions de son domicile vers un plateau technique installé à l’Hôtel du département de Strasbourg, où se trouveront des professionnels qualifiés pour leur répondre.

Un « job d’été dating », le 11 avril de 9h à 12h, sur le campus de l’Esplanade. Cette opération, basée sur le principe du « speed dating », permet aux candidats (des étudiants en situation de handicap) de postuler pour l’un des 15 postes d’été au Conseil général du Bas-Rhin et à la Maison départementale des personnes handicapées.

Une table-ronde sur le parcours des étudiants handicapés de l'université à l'emploi, le 12 avril dans l’après-midi, au Vaisseau (Strasbourg). Elle regroupera des étudiants et des professionnels. Cette table-ronde est organisée dans le cadre d'une conférence plus large, intitulée Vivre avec un enfant en situation de handicap.

La Semaine du handicap a trois objectifs principaux :
   1. Accompagner et informer la personne en situation de handicap et sa famille, lors de conférences et de journées d’information et d’action sur des thèmes essentiels
   2. Organiser des activités ludiques et accessibles à destination des personnes en situation de handicap (plongée, baptême de l’air, parcours de marche en forêt, visites sensorielles de musées…)
   3. Sensibiliser le grand public à la question du handicap (expositions d’œuvres sur le handicap, pièces de théâtre jouées par des acteurs handicapés, atelier de peinture les yeux bandés, etc.).